mercredi 26 mars 2014

Projet Alice 3 – phrases 14-18

Quizás tenían una nave de repuesto y se habían marchado en ella. O tal vez alguien había venido a recogerlos para llevarlos de regreso a casa. ¿Cómo saberlo? Lo cierto es que afortunadamente no debíamos compartir el mundo con ellos. Tomamos la ciudadela contentos de su existencia y de que estuviera vacía y no nos hicimos más preguntas sobre el destino de sus constructores.

Traduction temporaire :
Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment savoir ? Heureusement, nous étions certains de ne pas avoir à partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, contents qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger plus avant sur le destin de ses bâtisseurs.

24 commentaires:

alice a dit…

Peut-être avaient-ils un entrepôt de secours et qu’ils l’avaient rejoint. Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Peut-être avaient-ils un entrepôt de secours [sûre que c'est pas navire, ici ?] et qu’ils l’avaient rejoint.

Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

alice a dit…

Peut-être avaient-ils un entrepôt [la description plus haut de la "nave" semble montrer qu'il ne s'agit pas d'un bâtiment marin, non?] de secours et qu’ils l’avaient rejoint. Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Peut-être avaient-ils un entrepôt [la description plus haut de la "nave" semble montrer qu'il ne s'agit pas d'un bâtiment marin, non? Moi, ce qui me fait douter, c'est le « marchado en ella » / tu veux que je demande son avis à une amie hispanophone ?] de secours et qu’ils l’avaient rejoint. Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Elena a dit…

Bonjour,
Au vu du contexte, je traduirais "nave" par "navire" ou "vaisseau", car il s'agit bien d'un texte SF et plus haut il y est dit :
"una estructura de aspecto no natural" / "quizás eran los módulos de una nave" → "nave" = vaisseau, dans ce cas-là.

alice a dit…

Merci Elena. On peut effectivement traduire par "vaisseau" qui laisse l’ambiguïté concernant l'usage du bâtiment car j'ai relu le début du texte et je persiste à croire que ce bâtiment, quel qu'il soit, n'est pas dans l'eau : "region central del continente" "cerca de la costa de un rio" "conjunto de edificaciones" "rodeado por una especie de muro"

alice a dit…

Peut-être qu’ils avaient un vaisseau de secours et qu’ils étaient partis avec. Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Ah ça m'embête, cette histoire. As-tu le moyen de demander à un / une autre hispanophone ?

alice a dit…

Oui, je consulte.

alice a dit…

Consultation de la traduction de "nave":
Cecilia (Argentine): entrepôt pour la première occurrence et vaisseau pour la deuxième et troisième occurrence.
Antonio (Espagne): vaisseau pour les trois occurrence
Carlos (Colombie): entrepôt pour la première occurrence et vaisseau pour les deux suivantes.

Elena a dit…

Dans ce cas, je pense que le plus prudent serait de demander son avis à l'auteure qui est une amie...

Tradabordo a dit…

Ah oui… parfait. Comme ça, le sujet serait tranché sans plus d'ambiguïté. Merci, Elena.

alice a dit…

Très bien! J'attends sa réponse pour continuer. Merci Elena

Elena a dit…

Bonjour,
Voici la réponse de Laura :

“nave” sería el equivalente castellano de “navire” o “vaisseau” en francés, o de “ship” en inglés.
Tiene una connotación marítima, de la que seguramente deriva. Hace una referencia poética a una “embarcación” que se desplaza o “navega” entre las estrellas.
Para evitar confusiones, puede decirse “nave espacial”, como “star ship” o “spacecraft” en inglés.
(¿Sería “vaisseau spatial” en francés?)
Se suele abreviar y escribir solamente “nave” (ship, ¿vaisseau?) si por una cuestión de contexto se entiende que se refiere a un vehículo que viaja en el espacio en lugar de viajar por el océano, y no necesita aclaración.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena… Merci Laura.

alice a dit…

Peut-être qu’ils avaient un vaisseau de secours et qu’ils étaient partis avec. Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

alice a dit…

Merci Elena, merci Laura!
Je traduis donc l'ensemble des occurrences de "nave" par "vaisseau".

Tradabordo a dit…

Peut-être qu’ils avaient [ou « avaient-ils » ?] un vaisseau de secours et qu’ils étaient [idem] partis avec.

Je te laisse faire l'inversion partout… Je pense que ça sera plus fluide… et je regarde après.

Ou peut-être que quelqu’un était venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

alice a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance, nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est que, par chance [avec « heureusement » ou quelque chose comme ça + placé après… ça évitera la coupure par l'entre-virgules], nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, heureux qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

alice a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le savoir ? Ce qui est certain, c’est qu’heureusement nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, contents qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage quant au destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment le [nécessaire ? Comme tu veux…] savoir ? Ce qui est certain, c’est qu’heureusement [virgule + pas génial le « ce qui » + « c'est » // une autre solution ?] nous ne devions pas partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, contents qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger davantage [ou « plus avant » ?] quant [« sur » ?] au destin de ses bâtisseurs.

alice a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment savoir ? Heureusement, nous étions certains de ne pas avoir à partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, contents qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger plus avant sur le destin de ses bâtisseurs.

Tradabordo a dit…

Peut-être avaient-ils un vaisseau de secours et étaient-ils partis avec. Ou peut-être quelqu’un était-il venu les chercher pour les ramener chez eux. Comment savoir ? Heureusement, nous étions certains de ne pas avoir à partager le monde avec eux. Nous nous emparâmes de la citadelle, contents qu’elle existe et qu’elle soit vide, sans nous interroger plus avant sur le destin de ses bâtisseurs.

OK.