mardi 25 mars 2014

Projet Nancy 3 – phrases 104-113

— Tienes un físico que causaría envidia a cualquier muchacha de mi generación.
Oh, eres muy amable. Es bonito oírte decir eso, Nano.
Después se paró y paseó  por el jardín. Tenía un vestido azul con motas blancas que se ceñía a su piel. Sin mirarme dijo : “Pensarás que estoy loca por haberte abordado en la calle y luego haberme acostado contigo”.
No —respondí, aunque en el fondo me preguntaba  por qué me había elegido a mí.
No quiero que pienses que hago eso todo el tiempo —dijo mientras volteaba a verme — pero cuando te vi en la embajada con tu azafate de champán sentí que te conocía de siempre.
Lottie, eres una loca. Pero una loca romántica —dije.

Traduction temporaire :

— Tu as un physique qui rendrait jalouse n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé comme ça dans la rue, puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée vers moi –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade, avec ton plateau de coupes de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

6 commentaires:

Nancy a dit…

— Tu as un physique qui ferait envie à n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé dans la rue puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée dans ma direction –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade avec ton plateau de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

Tradabordo a dit…

— Tu as un physique qui ferait envie à n'importe [ou : « dont serait jalouse » ?] quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec [ou « à » ? J'hésite] des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé [cheville : « comme ça » ?] dans la rue [virgule] puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée dans ma direction [naturel ?] –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade [virgule] avec ton plateau de [cheville : « coupes de »] champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

Nancy a dit…

— Tu as un physique dont serait [ ou "qui rendrait" ?] jalouse n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec [ou « à » ? J'hésite/ Il y a moins d'occurrences pour "robe à motifs" que pour "robe avec des motifs" sur Google] des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé comme ça dans la rue, puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée vers moi –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade, avec ton plateau de coupes de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

Tradabordo a dit…

— Tu as un physique dont serait [ ou "qui rendrait" ? // tu ne tranches pas ?????] jalouse n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec [ou « à » ? J'hésite/ Il y a moins d'occurrences pour "robe à motifs" que pour "robe avec des motifs" sur Google // OK] des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé comme ça dans la rue, puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée vers moi –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade, avec ton plateau de coupes de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

Nancy a dit…

— Tu as un physique qui rendrait jalouse n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé comme ça dans la rue, puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée vers moi –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade, avec ton plateau de coupes de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

Tradabordo a dit…

— Tu as un physique qui rendrait jalouse n'importe quelle femme de ma génération.
— Oh ! Tu es très gentil. C'est beau de t'entendre dire ça, Nano.
Ensuite, elle s'est levée et s'est promenée dans le jardin. Elle portait une robe bleue moulante avec des motifs blancs. Sans me regarder, elle m'a lancé : « Tu dois penser que je suis folle de t'avoir abordé comme ça dans la rue, puis d'avoir couché avec toi. »
— Non, ai-je répondu – même si, dans le fond, je me demandais pourquoi elle m'avait choisi, moi.
— Je ne voudrais pas que tu croies que j'ai l'habitude d'agir ainsi – elle s'est retournée vers moi –, mais quand je t'ai vu à l'ambassade, avec ton plateau de coupes de champagne, j'ai eu l'impression de te connaître depuis toujours.
— Lottie, tu es folle. Mais romantique.

OK.