samedi 26 avril 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 63-66

Bastará con señalar que se trata de un cuaderno de notas escandalosamente misógino, cuyos momentos más coherentes son aquellos en que cita al brasileiro Rubem Fonseca –evangelista del diablo– o al sátiro local que respondió al nombre de Adolfo Bioy Casares, cuyas frases epigramáticas encabezan no pocas infamias: “Mujeres. Máquinas de transmitir tensiones. Las encendemos un rato, por placer. Si quedan encendidas nos mandan a la tumba”.

Traduction temporaire :
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

15 commentaires:

Sonita a dit…

Il suffira de souligner qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleuseusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épogrammatiques titulent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira de souligner [adapté ici ?] qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleuseusement [????] misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épogrammatiques [?] titulent [????] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita a dit…

Il suffira de faire remarquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira de faire [dommage d'ajouter un « faire » alors qu'on a tellement de mal à s'en débarrasser… Trouve une autre solution] remarquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond [ou « répondant » ?] au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent [non ; lieux vaut utiliser un autre verbe] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques intitulent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques intitulent [en fait, là, j'ai un doute… est-ce vraiment dans ce sens-là qu'il faut l'entendre ?] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent [ou « viennent en tête » ? Je me demande ce qu'en pense Céline // elle passe son concours, là, donc on la reverra dans quelques jours] de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita a dit…

Ok, on attend de voir ce que Céline en pense. :)

Tradabordo a dit…

Parfait… D'ici là, je te donnerai de quoi nourrir ton insatiable appétit de traductrice ;-)

Céline ?

Unknown a dit…

Je vois aussi ça dans le sens de « rengorgent » ou « renferment ».

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Tradabordo a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Sonita, ton avis ?

Sonita a dit…

Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».

Je pense que c'est une bonne solution.