samedi 26 avril 2014

Projet Élise 4 – phrases 17-18

La habitación adquirió presencia como pared y techo para crear la extraña sensación de ser ella - esa argamasa antigua - la que sorbe y desgasta el esfuerzo del organismo aferrado a la vida. Echó una ojeada a su alrededor: la vieja mesa del comedor con el plato del almuerzo sin tocar, donde un pedazo de carne y una lechuga lucen marchitos.

Traduction temporaire :
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

10 commentaires:

Unknown a dit…

La chambre gagna de la présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux mortier – qui avait absorbé et consumé l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où contrastaient un morceau de viande et une laitue flétris.

Tradabordo a dit…

La chambre gagna de la [ou « en » ?] présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux [cheville : « tas de » ?] mortier – qui avait absorbé [temps ?] et consumé [temps ?] l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger [virgule ? Comme tu veux] avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où contrastaient [bof… la construction ne fonctionne pas très bien] un morceau de viande et une laitue flétris.

Unknown a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorba et consuma l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris trônaient encore.

J'avais mis du plus-que-parfait parce que l'action de la mort de l'homme précède celle-ci. La chambre gagne en présence car elle a absorbé l'énergie du corps lors de sa mort, je trouvais ça plus clair au pqp, non ?

Tradabordo a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorba [imparfait ?] et consuma [idem ?] l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris trônaient [carrément bizarre dans ce contexte] encore.

Unknown a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbait et consumait l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

Je suis pas sûre que ça aille à l'imparfait, là on dirait qu'il est encore dans la pièce en train de mourir alors qu'il est déjà mort, non ?

Tradabordo a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbait et consumait l'effort de l'organisme accroché à la vie [alors avec « en train de » ? Il faut quand même tenir compte de ce qu'en V.O., c'est du présent]. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

Unknown a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que ce soit elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

Tradabordo a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que ce soit [non, l), tu ne peux pas contourner « c'est »] elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

Unknown a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

Tradabordo a dit…

La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.

OK.