lundi 21 avril 2014

Projet Hélène 2 – phrase 20

No importa cuánto explore en su memoria, Guiraldes siempre obedecía cuando Luizinho señalaba la isla, y el sonido del motor ocultaba lo que los hombres se decían casi a gritos en la proa: la voz de su padre dando la última, definitiva orden antes de desaparecer.

Traduction temporaire :
Quoi qu’il explore dans sa mémoire, Guiraldes obéissait toujours quand Luizinho lui montrait l’île. Le son du moteur couvrait ce que les hommes se disaient presque à tue-tête à la proue : la voix du père donnant l’ordre ultime, définitif, avant de disparaître.

3 commentaires:

Hélène a dit…

Quoi qu’il explore dans sa mémoire, Guiraldes obéissait toujours quand Luizinho lui montrait l’île. Le son du moteur couvrait ce que les hommes se disaient presque en criant depuis la proue : la voix du père donnant l’ordre ultime, définitif avant de disparaître.

Tradabordo a dit…

Quoi qu’il explore dans sa mémoire, Guiraldes obéissait toujours quand Luizinho lui montrait l’île. Le son du moteur couvrait ce que les hommes se disaient presque en criant [avec à « tue-tête » ?] depuis [« à » ?] la proue : la voix du père donnant l’ordre ultime, définitif [virgule ?] avant de disparaître.

Hélène a dit…

Quoi qu’il explore dans sa mémoire, Guiraldes obéissait toujours quand Luizinho lui montrait l’île. Le son du moteur couvrait ce que les hommes se disaient presque à tue-tête à la proue : la voix du père donnant l’ordre ultime, définitif, avant de disparaître.

OK