vendredi 25 avril 2014

Projet Nancy 3 – phrases 127-130

Los días con Lottie fueron como unas vacaciones en el Caribe, en el crucero más lujoso. Hablamos de miles de cosas, paseábamos por los cafés de la ciudad, por galerías de arte, siempre como si el mundo fuera a desaparecer a la vuelta de la esquina.
Un día le pregunté por las pinturas que había en las paredes de las escaleras, eran hombres gordos, serios, pintados con pasteles oscuros. En pequeñas placas de metal estaban inscritos sus nombres, todos apellidaban  Jones-Walker.

Traduction temporaire :

Les jours passés auprès de Lottie ont ressemblé à des vacances aux Caraïbes, à la plus luxueuse des croisières. Nous avons parlé de milliers de choses, nous nous promenions dans les cafés de la ville, dans des galeries d'art, toujours comme si le monde allait disparaître à chaque coin de rue.
Une fois, je l'ai questionnée au sujet des tableaux accrochés dans les escaliers : des hommes gros, sérieux, peints au pastel sombre. Leurs noms étaient inscrits sur des petites plaques en métal, ils s'appelaient tous Jones-Walker.

4 commentaires:

Nancy a dit…

Les jours passés en compagnie de Lottie ont ressemblé à des vacances aux Caraïbes, lors de la plus luxueuse des croisières. Nous avons parlé de milliers de choses, nous nous promenions dans les cafés de la ville, dans les galeries d'art, toujours comme si le monde allait disparaître à chaque coin de rue.

Une fois, je l'ai questionnée au sujet des peintures accrochées au mur des escaliers ; des hommes gros, sérieux, peints au pastel sombre y étaient représentés. Leurs noms étaient inscrits sur des petites plaques en métal, ils s'appelaient tous Jones-Walker.

Tradabordo a dit…

Les jours passés en compagnie de [ou : « auprès de » ?] Lottie ont ressemblé à des vacances aux Caraïbes, lors de [nécessaire ?] la plus luxueuse des croisières. Nous avons parlé de milliers de choses, nous nous promenions dans les cafés de la ville, dans les [« des » ?] galeries d'art, toujours comme si le monde allait disparaître à chaque coin de rue.
Une fois, je l'ai questionnée au sujet des peintures [« tableaux » ?] accrochées au mur des [« dans les » ?] escaliers ; [ou deux points ?] des hommes gros, sérieux, peints au pastel sombre y étaient représentés [du coup, avec les deux points, est-ce nécessaire ?]. Leurs noms étaient inscrits sur des petites plaques en métal, ils s'appelaient tous Jones-Walker.

Nancy a dit…

Les jours passés auprès de Lottie ont ressemblé à des vacances aux Caraïbes, à la plus luxueuse des croisières. Nous avons parlé de milliers de choses, nous nous promenions dans les cafés de la ville, dans des galeries d'art, toujours comme si le monde allait disparaître à chaque coin de rue.
Une fois, je l'ai questionnée au sujet des tableaux accrochés dans les escaliers : des hommes gros, sérieux, peints au pastel sombre. Leurs noms étaient inscrits sur des petites plaques en métal, ils s'appelaient tous Jones-Walker.

Tradabordo a dit…

Les jours passés auprès de Lottie ont ressemblé à des vacances aux Caraïbes, à la plus luxueuse des croisières. Nous avons parlé de milliers de choses, nous nous promenions dans les cafés de la ville, dans des galeries d'art, toujours comme si le monde allait disparaître à chaque coin de rue.
Une fois, je l'ai questionnée au sujet des tableaux accrochés dans les escaliers : des hommes gros, sérieux, peints au pastel sombre. Leurs noms étaient inscrits sur des petites plaques en métal, ils s'appelaient tous Jones-Walker.

OK.