vendredi 16 mai 2014

Projet Alice 3 – phrases 45-49

Fue en medio de esa locura que yo me acerqué a Venara. Obviamente la conocía —uno no viaja cinco años encerrado en una nave con otros ciento quince colonizadores sin llegar a conocerlos— pero en aquellos días aciagos fue como si la viera por primera vez. Era realmente hermosa. ¿Conocen esa anarquía de los sentidos, esa especie de narcosis que nubla la razón, incapacita las extremidades y descontrola la lengua? Yo caí de lleno en sus brazos.

Traduction temporaire :
C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je l'avais déjà rencontrée – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se croiser – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

9 commentaires:

alice a dit…

C'est au beau milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara[j'ai déjà utilisé "beau" dans la phrase précédente "on eut beau..." donc je la modifierai pour la version finale]. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans faire connaissance – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

Tradabordo a dit…

C'est au beau [nécessaire ?] milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans faire connaissance – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez [tu as « connaissance » au-dessus ; ce serait mieux de changer…]-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

alice a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se rencontrer – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Comprenez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

Tradabordo a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se rencontrer –, mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Comprenez-vous [je vois bien que tu veux éviter la répétition, mais je crois que tu change le sens… ] cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

alice a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se rencontrer – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

Tradabordo a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je la connaissais déjà – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se rencontrer – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous [un moyen de ne pas répéter l'un des deux « connaître » ?] cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

alice a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je l'avais déjà rencontrée – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se croiser – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

alice a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je l'avais déjà rencontrée – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se croiser – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

Tradabordo a dit…

C'est au milieu de cette folie que je me rapprochai de Venara. Évidemment, je l'avais déjà rencontrée – on ne voyage pas enfermé dans un vaisseau avec cent quinze colonisateurs pendant cinq ans sans se croiser – mais en ces temps incertains, ce fut comme si je la voyais pour la première fois. Elle était vraiment belle. Connaissez-vous cette anarchie des sens, cette ivresse qui trouble la raison, anesthésie les extrémités et perturbe le langage ? Je tombai littéralement dans ses bras.

OK.