dimanche 25 mai 2014

Projet Hélène 2 – phrase 41

La vida nos imagina a nosotros, y de pronto un día cualquiera es hoy; te miras al espejo, te sientas a una mesa, abres un álbum de familia y sabes bien que alguien te vio llorar; escuchas a quien lo dice, con atención, con cierto escepticismo, como si te contaran un cuento de hadas lleno de contradicciones.

Traduction temporaire :
La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité avec un certain scepticisme, comme si on nous racontait un conte de fées plein de contradictions.

8 commentaires:

Hélène a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain un jour quelconque devient aujourd’hui ; tu te regardes dans le miroir, tu t’assieds à une table, tu ouvres un album de famille et tu sais parfaitement que quelqu’un t’a vu pleurer ; tu écoutes à qui il le dit, avec attention, habité par un certain scepticisme, comme si on te racontait un conte de fées plein de contradictions.

Tradabordo a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain [virgule] un jour quelconque devient aujourd’hui ; tu [à part si le narrateur s'adresse au lecteur ou à un autre personne, il vaut mieux « on » ; c'est bien une généralisation ici, non ?] te regardes dans le miroir, tu t’assieds à une table, tu ouvres un album de famille et tu sais parfaitement que quelqu’un t’a vu pleurer ; tu écoutes à qui il le dit, avec attention, habité par un certain scepticisme, comme si on te racontait un conte de fées plein de contradictions.

Hélène a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité par un certain scepticisme, comme si un conte de fées plein de contradictions nous était raconté.

Tradabordo a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité par un certain scepticisme, comme si un conte de fées plein de contradictions nous était raconté.

Je ne trouve pas la fin super claire, mais je ne ne sais pas si tu as un moyen de mettre un peu de fluidité dans tout ça ; fais un test une fois et si ça ne marche pas, on reviendra à cette version.

Hélène a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité par un certain scepticisme, comme si on nous racontait un conte de fées plein de contradictions.

test n°1

Tradabordo a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité par [répète le « avec » ; ce sera plus naturel] un certain scepticisme, comme si on nous racontait un conte de fées plein de contradictions.

Hélène a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité avec un certain scepticisme, comme si on nous racontait un conte de fées plein de contradictions.

Tradabordo a dit…

La vie nous imagine, nous, et soudain, un jour quelconque devient aujourd’hui ; on se regarde dans le miroir, on s’assied à une table, on ouvre un album de famille et on sait parfaitement que quelqu’un nous a vu pleurer ; on écoute à qui il le dit, avec attention, habité avec un certain scepticisme, comme si on nous racontait un conte de fées plein de contradictions.

OK.