mardi 20 mai 2014

Projet Sonita 14 – phrases 2-5


Luego me dijo: Buscá una mesa adelanteLa nuestra o cualquiera. Yo lo miraba: era él, sus ojos rasgados, la mirada aguda, la voz cavernosa pero tierna. O sea, le dije, ¿inventaste tu muerte?¿a quién querías asustar? 

Traduction temporaire :
Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le considérais : c'était lui, ses yeux en amande, son regard vif, sa voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

10 commentaires:

Sonita a dit…

Puis, il me dit : Il cherchera une table devant. La nôtre ou n'importe quelle autre. Moi, je le regardais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse mais douce. C'est-à-dire que, lui dis-je, tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ?

Tradabordo a dit…

Puis, il me dit [confirme que tu étais bien au passé simple jusque-là] : Il cherchera [sûre pour le temps ?] une table devant. La nôtre ou n'importe quelle autre. Moi, je le regardais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse [virgule] mais douce. C'est-à-dire que, lui dis-je [place-le ailleurs], tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ?

Sonita a dit…

Oui, est est bien au passé simple.

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe quelle autre. Moi, je le regardais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que, tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ?, lui demandai-je.

Tradabordo a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe quelle autre [« laquelle »]. Moi, je le regardais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que, [pourquoi cette virgule ?] tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ?, [supprime la virgule] lui demandai-je.

Sonita a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le regardais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

Tradabordo a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le regardais [un autre verbe ; un détail, mais ça m'embête parce qu'on a « regard » après] : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

Sonita a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le considérais : c'était lui, ses yeux en amande, le regard vif, la voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

Tradabordo a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le considérais : c'était lui, ses yeux en amande, le [possessif ?] regard vif, la [possessif ?] voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

Sonita a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le considérais : c'était lui, ses yeux en amande, son regard vif, sa voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

Tradabordo a dit…

Puis, il me dit : Cherche une table devant. La nôtre ou n'importe laquelle. Moi, je le considérais : c'était lui, ses yeux en amande, son regard vif, sa voix caverneuse, mais douce. C'est-à-dire que tu as inventé ta propre mort ? À qui voulais-tu faire peur ? lui demandai-je.

OK.