jeudi 12 juin 2014

Projet Elena 7 – phrases 78-79

Supongo que mi presencia les empezó a resultar familiar: me saludaban brevemente y el viejo M cada tanto me sonreía, divertido con mi persistencia, quizá porque creía que yo sólo trataba de copiar algún golpe. Cuando Freddy y el viejo M llegaron, como todos anticipaban, a la final del torneo, me senté desde muy temprano en las primeras gradas.

Traduction temporaire :
Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma persistance, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent au stade où tout le monde se doutait – à savoir, la fin du tournoi –, je m'assis le plus tôt possible sur l'un des premiers gradins.

11 commentaires:

Elena a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière : ils me saluaient brièvement et de temps à autre, le vieux M me lançait un sourire, ravi de ma présence, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M atteignirent ce dont tout le monde se doutait : la fin du tournoi, je m'assis très tôt sur l'un des premiers gradins.

Tradabordo a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière : [point ?] ils me saluaient brièvement et [virgule] de temps à autre, le vieux M me lançait [soit tu gardes comme en V.O., soit tu choisis un synonyme // il y a un verbe mieux] un sourire, ravi [FS ?] de ma présence, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M atteignirent [mal dit ici] ce dont tout le monde se doutait : la fin du tournoi [entre tirets + « à savoir »], je m'assis très tôt [que dit la suite ? Car là, c'est bizarre…] sur l'un des premiers gradins.

Elena a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma présence, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent là où tout le monde se doutait – à savoir, la fin du tournoi – , je m'assis très tôt [dès le début ?] sur l'un des premiers gradins.

Voici la suite :
Esperaba que un pique cerca de la línea, o un saque demasiado rápido, fuera de la vista del umpire, pudiera encender un brote de discordia, un reproche, una pequeña mezquindad. Pero en cada pelota dudosa, como si se tratara sólo de otro entrenamiento, los dos se apresuraban a pedir que se repitiera el tanto. Lucharon con ferocidad punto por punto, pero sin tirar la raqueta ni gritar una sola vez.

Tradabordo a dit…

OK… mais donc, comment le comprends-tu ? Qu'il vient en avance pour être sûr d'avoir une place, etc. ?

Elena a dit…

Oui, il s'y installe dès que ça commence.

Elena a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Tradabordo a dit…

« le plus tôt possible » ?

Elena a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma présence, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent là où tout le monde se doutait – à savoir, la fin du tournoi – , je m'assis le plus tôt possible sur l'un des premiers gradins.

Tradabordo a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma présence, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent là où tout le monde se doutait [non, là, ça ne va pas… Parle de niveau, position… truc comme ça] – à savoir, la fin du tournoi – [espace en trop] , je m'assis le plus tôt possible sur l'un des premiers gradins.

Elena a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma persistance, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent au stade où tout le monde se doutait – à savoir, la fin du tournoi –, je m'assis le plus tôt possible sur l'un des premiers gradins.

Tradabordo a dit…

Je suppose que ma présence leur était familière. Ils me saluaient brièvement et, de temps à autre, le vieux M me souriait, amusé de ma persistance, probablement parce qu'il croyait que j'essayais juste d'imiter un coup. Lorsque Freddy et le vieux M arrivèrent au stade où tout le monde se doutait – à savoir, la fin du tournoi –, je m'assis le plus tôt possible sur l'un des premiers gradins.

OK.