lundi 16 juin 2014

Projet Élise 3 – phrases 114-118

Mientras las voces chisporroteaban, saltando entre bocas invisibles, Zebrel intentó juntar los pocos datos que había recogido. Estaba en una cama, sumido en la oscuridad, probablemente en la habitación de un hospital, flanqueado por loros parlanchines. Había una noticia mala y una buena, como en el chiste del tipo al que le habían cortado las dos piernas; la buena noticia, dijo el médico, es que le vendí los zapatos a buen precio a uno que le tuvimos que cortar los dos brazos. ¿Y por qué a buen precio? Porque a la gente sin brazos les gustan los mocasines.

Traduction temporaire :
Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'il avait recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type qu'on a amputé des deux jambes ; la bonne, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, accompagné de moulins à paroles. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui ils avaient amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, dit le médecin, c'est que l'on vend les chaussures à un bon prix à quelqu'un qui a perdu ses deux bras. Et pourquoi à un bon prix ? Parce que les gens sans bras aiment les mocassins.

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée [« ée » ou « é » ?] dans l'obscurité, accompagné [dans le sens de « flanqué » ? L'un de chaque côté ? Vérifie…] de moulins à paroles. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui ils [qui « ils » ?] avaient amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, dit le médecin, c'est que l'on vend les chaussures à un bon prix à quelqu'un qui a perdu ses deux bras [manque de naturel ?]. Et pourquoi à un bon prix ? Parce que les gens sans bras aiment les mocassins.

Unknown a dit…

endant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée [« ée » ou « é » ? Oui j'ai mis "ée" parce que je trouvais ça bizarre accordé à "lit" ou à "il"] dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui ils [qui « ils » ? Ceux de la secte, ceux qui l'ont enlevé et emmené là. Je pense que c'est plutôt "ils" que "on" mais c'est vrai que j'ai un doute maintenant...] avaient amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, dit le médecin, c'est que l'on vend les chaussures à bas prix à ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi à bas prix ? Parce que les gens sans bras aiment les mocassins.

Unknown a dit…

Celle-ci a été oubliée. ;)

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui ils [qui « ils » ? Ceux de la secte, ceux qui l'ont enlevé et emmené là. Je pense que c'est plutôt "ils" que "on" mais c'est vrai que j'ai un doute maintenant... / Je pense que c'est plutôt « on »] avaient amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, dit [avec « annoncer » ?] le médecin, c'est que l'on vend les chaussures à bas prix à ceux qui ont perdu leurs deux bras [je trouve que ça ne claque pas comme dans une blague]. Et pourquoi à bas prix ? Parce que les gens sans bras aiment les mocassins.

Unknown a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on avaient amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, annonça le médecin, c'est que les chaussures sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi ne sont-elles pas chères ? Parce que les gens sans bras aiment les mocassins.

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on avaient [grammaire ? Passé composé ?] amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, annonça le médecin, c'est que les chaussures [« ne » ?] sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi ne sont-elles pas chères [ou simplement : « donc » ?] ? Parce que les gens sans bras [« manchots » ?] aiment [« apprécient » ?] les mocassins.

Unknown a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on a amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'ils avaient [pourquoi au pluriel, au fait ?] recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on a amputé les deux jambes ; la bonne nouvelle [nécessaire ?], annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

Unknown a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'il avait recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on a amputé les deux jambes ; la bonne, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'il avait recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type à qui on a amputé les deux jambes [ou : « qu'on a amputé des deux jambes » ? Je te laisse voir] ; la bonne, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

Unknown a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'il avait recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type qu'on a amputé des deux jambes ; la bonne, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

Tradabordo a dit…

Pendant que les voix crépitaient, sautant entre ces bouches invisibles, Zebrel essaya de rassembler les rares informations qu'il avait recueillies. Il se trouvait dans un lit, probablement dans une chambre d’hôpital, plongée dans l'obscurité, flanqué d'un moulin à paroles de chaque côté. Il y avait une bonne et une mauvaise nouvelle, comme dans la blague du type qu'on a amputé des deux jambes ; la bonne, annonça le médecin, c'est que les chaussures ne sont pas chères pour ceux qui ont perdu leurs deux bras. Et pourquoi donc ? Parce que les manchots apprécient les mocassins.

OK.