dimanche 15 juin 2014

Projet Élise 4 – phrases 29-32

Abrí la puerta y prendí la luz, porque ya todo está a oscuras. Vi las sábanas arrugadas y en desorden. Sin saber cómo, me sumergí en un tormentoso océano de memorias que rompen desapacibles contra mi frente. Observo al muerto que parece burlarse de mi al mostrar la placidez extraña que siempre adquieren los rostros cuando termina de abandonarles la vida.

Traduction temporaire :
J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je plongeai dans un océan orageux de souvenirs désagréables qui se brisaient contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

6 commentaires:

Unknown a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je me plongeai dans un océan de souvenirs qui se brisaient, maussades, contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

Tradabordo a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je me [nécessaire ?] plongeai dans un océan [et « tormentoso »] de souvenirs qui se brisaient, maussades [sûre ?], contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

Unknown a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je plongeai dans un océan orageux de souvenirs qui se brisaient, maussades [sûre ? J'ai choisi le sens "maussade" pour continuer la métaphore avec "l'océan orageux"], contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

Tradabordo a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je plongeai dans un océan orageux de souvenirs qui se brisaient, maussades [sûre ? J'ai choisi le sens "maussade" pour continuer la métaphore avec "l'océan orageux" // je vois… mais est-ce le sens ?], contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

Unknown a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je plongeai dans un océan orageux de souvenirs désagréables qui se brisaient contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

Tradabordo a dit…

J'ouvris la porte et allumai la lumière, parce qu'il faisait déjà noir. Je vis les draps froissés et en désordre. Sans savoir comment, je plongeai dans un océan orageux de souvenirs désagréables qui se brisaient contre mon front. J'observe le mort, il semble se moquer de moi en affichant l'étrange placidité qu'acquièrent toujours les visages lorsque la vie vient de les quitter.

OK.