mercredi 11 juin 2014

Projet Hélène 2 – phrases 56-58

Ahí estaba, después de cinco años, João Guiraldes. Durante cuatro años estuve fuera, y el último verano que papá pasó lejos del hospital decidió prescindir de él porque ya estaba viejo y necesitaba descansar (ambos necesitaban descansar, dijo). Yo nunca reuní el valor suficiente para visitarlo en el asilo de enfermos donde me comentaron que vivía encerrado en sus cataratas cada vez más azules.

Traduction temporaire :
Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice, où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte, de plus en plus bleue.

18 commentaires:

Hélène a dit…

Il était là, cinq ans après, João Guiraldes. Je suis parti pendant quatre ans, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de se passer de lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous deux avaient besoin de se reposer, avait-il assuré). Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Tradabordo a dit…

Il était là, cinq ans après, João Guiraldes [bof, je ne crois pas que la syntaxe fonctionne très bien… ou alors garde, mais en faisant un peu de ménage]. Je suis parti pendant quatre ans, et le dernier été que papa passa [pb de temps ; tu mélanges le PC et le PS… Harmonise, en fonction de ce que tu as fait jusque-là et / ou de « qui parle »] loin de l’hôpital, il décida de se passer de lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous deux avaient besoin de se reposer, avait-il assuré). Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Hélène a dit…

João Guiraldes était là, cinq ans après. Je partis pendant quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de se passer de lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous deux avaient besoin de se reposer, avait-il assuré). Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Tradabordo a dit…

João Guiraldes était là, cinq ans après [à mon avis, ce serait plus « dramatique » en inversant la syntaxe]. Je partis pendant [nécessaire ? Ou alors « fus absent » ? Je te laisse voir…] quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de se passer [tu as « passer » juste avant]

de lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous deux avaient besoin de se reposer, avait-il assuré). Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Je fus absent quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de ne pas compter sur lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré). Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Tradabordo a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Je fus absent quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de ne pas compter sur lui car il se faisait vieux et avait besoin de se reposer (tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré) [tu pourrais sans doute avancer tout ça près de « papa » ; essaie voir]. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Je fus absent quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, se faisant vieux et ayant besoin de repos (tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré), il décida de ne pas compter sur lui. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Tradabordo a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Je fus absent quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, se faisant vieux et ayant besoin de repos (tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré), il décida de ne pas compter sur lui.

Dans la dernière phrase, il y a ambiguïté : qui se fait vieux……… ?

Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Je fus absent quatre années, et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il décida de ne pas compter sur lui car il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré).

Guiraldes était l'ancien compagnon de pêche du père. Avant de mourir, le père continua, un an durant, d'aller à la pêche mais sans Guiraldes car il se faisait vieux. Voilà pour l'explic.

Je tourne un peu en rond. Le dernière solution ne marchant pas, j'ai tendance à revenir à ma première version...

Tradabordo a dit…

Demande son aide à Elena.

Hélène a dit…

Le voici João Guiraldes, cinq ans plus tard. Les quatre ans que dura mon absence, plus le dernier été que papa passa en dehors de l’hôpital, durant lequel il avait décidé de ne pas compter sur lui car il était déjà vieux et avait besoin de repos (d'ailleurs, tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré).

Voici la proposition d'Elena. Pas mal du tout je pense.

Tradabordo a dit…

Le voici João Guiraldes [? Non, là, ça allait ; donc ne change pas], cinq ans plus tard. Les quatre ans que dura mon absence, plus le dernier été que papa passa en dehors de l’hôpital, durant lequel il avait décidé de ne pas compter sur lui car il était déjà vieux et avait besoin de repos (d'ailleurs, tous les deux en ressentaient le besoin, avait-il assuré).

Le sens est bon, mais l'ensemble manque de naturel ; à toi, maintenant, de mettre de la fluidité dans tout ça.

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il avait décidé de ne pas le solliciter car il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré).

Tradabordo a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, il avait décidé de ne pas le solliciter car il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré).


Je te propose :

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter.

OK ?

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour un peu plus bleue.

Ok pour ta proposition. je mets la suite.

Tradabordo a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice [virgule] où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte chaque jour [ou simplement « de plus en plus » ? + virgule avant] un peu plus bleue.

Hélène a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice, où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte, de plus en plus bleue.

Tradabordo a dit…

Cinq ans après, João Guiraldes était là. Les quatre premières années, je fus absent ; et le dernier été que papa passa loin de l’hôpital, voyant qu'il se faisait vieux et avait besoin de repos (tous deux en éprouvaient le besoin, avait-il assuré), il avait décidé de ne pas le solliciter. Je n’eus jamais assez de courage pour lui rendre visite à l’hospice, où on me raconta qu’il vivait prisonnier de sa cataracte, de plus en plus bleue.

OK.