jeudi 12 juin 2014

Projet Irène – phrases 149-150

Somos animales al fin y al cabo. Los animales más dañinos conocidos jamás por este mundo.
Al principio no estaba muy de acuerdo con estos planteos de mi país, pero fui dándome cuenta con el correr del tiempo de que la implementación de estas medidas quizá sea el único modo de recuperar la salud de lo esencial: la naturaleza perdida.

Traduction temporaire :
Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures prises dans mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur application était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

10 commentaires:

IRENE a dit…

Nous sommes des animaux en fin de compte. Les animaux les plus nocifs que ce monde ait jamais connu. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces approches de mon pays, mais je me sius rendu compte au fil du temps que le mise en place de ces mesures était peut-être la seule façon de récupérer la santé de l’essentiel : la nature perdue.

Tradabordo a dit…

Nous sommes des animaux [virgule] en fin de compte. Les animaux les plus nocifs que ce monde ait jamais connu [ou « us » ? Vérifie]. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces approches [pas très bien dit] de mon pays, mais [ou « puis » ?] je me sius [coquille] rendu compte au fil du temps [avance-le] que le mise en place de ces mesures était peut-être la seule façon de récupérer la santé [bizarre, non ?] de l’essentiel : la nature perdue.

IRENE a dit…

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs que ce monde ait jamais vus. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures de mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que le mise en place de ces mesures était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

Tradabordo a dit…

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs que ce monde ait jamais vus []on ne peut pas le traduire littéralement ?. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures de mon pays [il y a mieux en français…], puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que le mise en place de ces mesures [nécessaire de répéter ?] était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

IRENE a dit…

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais connus dans ce monde [?]. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures nationales, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur mise en place était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

Tradabordo a dit…

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures nationales [plus près de la V.O. : « prises dans / par mon pays » ?], puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur mise en place était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

IRENE a dit…

Je reprends le fil après une longue interruption : en principe je ne bouge plus !!!

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures prises dans mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur mise en place était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

Tradabordo a dit…

Tant mieux… parce qu'il faut vraiment en finir. Je te l'ai dit, l'auteur attend depuis longtemps et c'est assez gênant.

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures prises dans mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur mise en place [ou « applications » ? Comme tu veux] était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

IRENE a dit…

OK !

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures prises dans mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur application était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

Tradabordo a dit…

Nous sommes des animaux, en fin de compte. Les animaux les plus nocifs jamais vus dans ce monde. Au début, je n’étais pas tout à fait d’accord avec ces mesures prises dans mon pays, puis, au fil du temps, je me suis rendu compte que leur application était peut-être la seule façon de récupérer l’essentiel : la nature perdue.

OK.