samedi 21 juin 2014

Projet Sabrina 3 – phrase 37

Mientras me entristecía pensando hasta qué punto los dioses dependemos del capricho humano, pues no somos más que la potenciación de las necesidades de un grupo social que hoy puede encumbrarnos para mañana dejarnos hundir en el ocaso que precede la veneración de nuevas divinidades, siempre despóticas en el ejercicio de su poder, mi precio iba subiendo en desmesuradas proporciones.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

14 commentaires:

Sabrina a dit…

Alors que j'étais triste en songeant jusqu'à quel point les dieux, nous dépendons du caprice de l'homme, car nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui aujourd'hui peut nous encenser pour demain nous laisser sombrer dans le déclin précédant la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Alors que j'étais triste en songeant [pas certaine que ce soit très réussi avec le gérondif ?] jusqu'à quel point [cheville : « , nous, »] les dieux, nous dépendons du caprice [naturel ?] de l'homme, car [cheville : « en fin de compte » ?] nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui [virgule] aujourd'hui [idem] peut nous encenser pour [bof] demain [virgule] nous laisser sombrer dans le déclin précédant [pas une solution avec un adjectif ?] la vénération de nouvelles divinités,


toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sabrina a dit…

Je n'ai pas trouvé d'adjectif alors je t'ai proposé autre chose ;).

Alors que j'étais triste lorsque je songeais jusqu'à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin avant de vénérer de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Alors que j'étais triste lorsque je songeais jusqu'à [mal dit ; la construction n'est vraiment pas géniale] quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car [virgule ?] en fin de compte [virgule ?] nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin avant de vénérer de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sinon, il y avait « antérieur » ; pèse les deux solutions… pour être à la fois le plus proche de la V.O. et le plus près du sens. Je te laisse trancher.

Tradabordo a dit…

Alors que j'étais triste lorsque je songeais jusqu'à [mal dit ; la construction n'est vraiment pas géniale] quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car [virgule ?] en fin de compte [virgule ?] nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin avant de vénérer de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sinon, il y avait « antérieur » ; pèse les deux solutions… pour être à la fois le plus proche de la V.O. et le plus près du sens. Je te laisse trancher.

Sabrina a dit…

Je ne rajouterais pas de virgule, le rythme serait trop saccadé je trouve.

Alors que je songeais avec tristesse jusqu'à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin avant de vénérer de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sabrina a dit…

Oup's,je me rends compte que j'ai oublié de modifier le reste!

Alors que je songeais avec tristesse jusqu'à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Alors que je songeais avec tristesse jusqu'à [je pense que tu devrais faire sans « jusqu'à »] quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sabrina a dit…

Mais tu sais que j'ai hésité longuement entre "jusqu'à" et "à"! Mais à force de m'interroger sur la meilleure formulation, j'ai commencé à trouver que les 2 n'avaient pas le même sens (!!) et du coup, j'ai préféré rester au plus près de la VO.

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices de l'homme [ou au pluriel ?], car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir [mets tout ça entre tirets ; ça permettra d'y voir plus clair], mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sabrina a dit…

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices des hommes, car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités - toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir -, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Au fait, merci pour les invitations. Désolée, je n'ai pas eu le temps de te répondre, mais j'ai bien suivi ;-)

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices des hommes, [n'est-ce pas ici que le tiret devrait se situer ?] car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités - toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir -, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Sabrina a dit…

Oui, bien sûr pour les tirets!! Merci :).
Je sais, ne t'inquiète pas ;). Et puis je sais aussi que tu as toujours tout plein de choses à faire donc y'a aucun souci ;).

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices des hommes - car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir -, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

Tradabordo a dit…

Alors que je songeais avec tristesse à quel point, nous, les dieux, nous dépendons des caprices des hommes - car en fin de compte nous ne sommes que l'élévation des besoins d'un groupe social qui, aujourd'hui, peut nous encenser et demain, nous laisser sombrer dans le déclin antérieur à la vénération de nouvelles divinités, toujours despotiques dans l'exercice de leur pouvoir -, mon prix ne cessait de grimper dans des proportions démesurées.

OK.