lundi 21 juillet 2014

Projet Céline – phrase 126

Que esta mujer linda, o a lo mejor no tan linda, que esta joven madre, que a lo mejor el había rejuvenecido con sus ojos interiores, esos ojos vueltos al pasado siempre joven y constante, que esta mujer que no estaba sola en la vida ni en el tren, lo hubiera puesto en peligro de perderse, le parecía no sólo asombroso sino brutalmente peligroso.

Traduction temporaire :
Que cette belle femme, ou peut-être pas si belle que cela, que cette mère jeune, ou qu’il rajeunissait peut-être avec ses yeux intérieurs, ces yeux tournés vers le passé, toujours jeune et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Que cette femme belle, ou peut-être pas si belle, que cette mère jeune, ou que ses yeux intérieurs avaient peut-être rajeunie, ces yeux tournés vers le passé toujours jeune et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

Tradabordo a dit…

Que cette femme belle [en inversant ce serait peut-être mieux], ou peut-être pas si belle, que cette mère jeune [idem ? Là, je suis moins sûre ; regarde et dis-moi], ou que ses yeux intérieurs [mais là, on ne sait pas qu'il s'agit de lui] avaient peut-être rajeunie, ces yeux tournés vers le passé toujours jeune [la répétition est-elle volontaire ?] et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

Unknown a dit…

Que cette belle femme, ou peut-être pas si belle, que cette mère jeune, ou qu’il rajeunissait peut-être avec ses yeux intérieurs, ces yeux tournés vers le passé toujours jeune [la répétition est-elle volontaire ? / Oui, je pense] et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux

Tradabordo a dit…

Que cette belle femme, ou peut-être pas si belle [chevilles : « que cela » ou inutile ? Comme tu veux…], que cette mère jeune, ou qu’il rajeunissait peut-être avec ses yeux intérieurs, ces yeux tournés vers le passé [virgule ou ça change le sens ?] toujours jeune et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

Unknown a dit…

Que cette belle femme, ou peut-être pas si belle que cela, que cette mère jeune, ou qu’il rajeunissait peut-être avec ses yeux intérieurs, ces yeux tournés vers le passé, toujours jeune et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

Tradabordo a dit…

Que cette belle femme, ou peut-être pas si belle que cela, que cette mère jeune, ou qu’il rajeunissait peut-être avec ses yeux intérieurs, ces yeux tournés vers le passé, toujours jeune et constant, que cette femme qui n’était seule ni dans la vie ni dans le train, lui ait fait courir le risque de se perdre, lui semblait à la fois étonnant et brutalement dangereux.

OK.