mercredi 16 juillet 2014

Projet Chloé 11 – phrases 2-3

Aquí sentado en el restaurant Haití, uno de los más emblemáticos del Distrito de Miraflores, me doy cuenta que todo ha cambiado desde que me hundí en el asiento de esta confortable meza hace más de treinta años. Siempre venía con mis padres, comiendo algo delicioso, probando lo mejor de la barra, sintiendo que el aire del distrito era diferente al de otros lugares, nada ha cambiado…en realidad todo parecía haber cambiado.

Traduction temporaire :
Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques établissements du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table pour la première fois, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air du quartier était différent de celui des autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, plus rien n'était pareil.

8 commentaires:

Chloé a dit…

Assis là, dans le restaurant Haïti, un des plus emblématiques du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir avait de meilleur, sentir que l'air du district était différent de celui de d'autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir évolué.

Tradabordo a dit…

Assis là, dans le restaurant Haïti [je me demande si on laisserait « restaurant » ; comment tu dis en français ?], [« l'»] un des plus emblématiques du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, [« pour » ?] manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir avait [« offrait » ?] de meilleur, sentir que l'air du district [change ici ; « quartier » ou un truc comme ça…] était différent de celui de d'autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir évolué [ah non, la répétition est volontaire].

Chloé a dit…

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, pour manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air de l'arrondissement était différent de celui de d'autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir changé.

Tradabordo a dit…

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table [cheville « pour la première fois » ? Ne serait-ce pas plus clair et cohérent avec l'ensemble de la phrase / de l'argument ?], il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, pour manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air de l'arrondissement [découpage administratif trop précis, non ?] était différent de celui de d'autres [RELIS-TOI ! Il faut vraiment que tu fasses un effort là-dessus… Ça nous fait perdre du temps et c'est pénible. Je dois publier je ne sais pas combien de fois les mêmes phrases pour des bêtises comme ça] endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir changé.

Chloé a dit…

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table pour la première fois, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, pour manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air du quartier était différent de celui des autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir changé.

1)Je suis désolée pour les fautes, je tâcherai d'être beaucoup plus rigoureuse à l'avenir, et de vous éviter tout énervement.
2) j'ai des pb de vue, je vais très bientôt avoir des lunettes, alors quelques fautes peuvent m'échapper même en relisant.

Tradabordo a dit…

Ah mais au-delà de l'énervement, parce que ça me fait valider / copier-coller commenter plusieurs les mêmes choses pour rien, il y a surtout qu'avec la trad, il faut être d'une grande rigueur – on ne peut rien laisser passer, sous peine de faire du tort à son auteur.

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques [« établissements » ?] du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table pour la première fois, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, pour [nécessaire ?] manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air du quartier était différent de celui des autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, tout semblait avoir changé [je pense que la répétition de la fin est importante].

Chloé a dit…

OK, bien entendu.

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques établissements du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table pour la première fois, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air du quartier était différent de celui des autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, plus rien n'était pareil.

Tradabordo a dit…

Assis là, au Haïti, l'un des plus emblématiques établissements du District de Miraflores, je me rends compte que tout a changé depuis que je me suis enfoncé dans le siège de cette confortable table pour la première fois, il y a plus de trente ans. Je venais toujours avec mes parents, manger quelque chose de délicieux, goûter à ce que le comptoir offrait de meilleur, sentir que l'air du quartier était différent de celui des autres endroits, c'est toujours pareil… En réalité, plus rien n'était pareil.

OK. Cette fois, c'est vraiment bien.