jeudi 17 juillet 2014

Projet Émilie 2 – phrases 11-13

¿Pero quién engaña a la noche? El amor se desenvuelve entre sus fauces como en su propia casa. Y Juan sintió por vez primera esas sensaciones ignotas, desconocidas para su indoblegable manera de palpar la oscuridad.

Traduction temporaire :
Mais qui trompe la nuit ? Dans ses mâchoires, l’amour évolue avec autant d’aisance que chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible manière de palper l’obscurité.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Mais qui peut prétendre tromper la nuit ? Dans sa gueule, l’amour se sent comme chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible façon de palper l’obscurité.

Tradabordo a dit…

On s'occupera de ça après… J'ai publié pour gagner du temps.

Tradabordo a dit…

Mais qui peut prétendre [je crois que tu surtraduis un peu] tromper la nuit ? Dans sa gueule, l’amour se sent [pour « desenvolver » ? J'hésite…] comme chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible façon [pour le coup, je me demande si je ne préfère pas « manière » ici… mais bon, fais comme tu veux] de palper l’obscurité.

Emilie a dit…

Mais qui trompe la nuit ? Dans sa gueule, l’amour évolue avec autant d’aisance que chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible manière de palper l’obscurité.

Tradabordo a dit…

Mais qui trompe la nuit ? Dans sa gueule [« Mâchoires » ?], l’amour évolue avec autant d’aisance que chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible manière de palper l’obscurité.

Emilie a dit…

Mais qui trompe la nuit ? Dans ses mâchoires, l’amour évolue avec autant d’aisance que chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible manière de palper l’obscurité.

Tradabordo a dit…

Mais qui trompe la nuit ? Dans ses mâchoires, l’amour évolue avec autant d’aisance que chez lui. Et Juan ressentit pour la première fois ces sensations ignorées, inconnues de son inflexible manière de palper l’obscurité.

OK.

Si je ne me trompe pas, c'est la dernière phrase. Je vais la coller à l'ensemble du texte – que tu trouveras, comme toujours, dans « travaux en cours » (colonne de droite du blog)… Tu prends le tout, tu le mets dans un doc Word / Open Office, tu relis bien et tu m'envoies le tout par mail quand c'est prêt.
Du temps pour commencer autre chose ou tu es sur le départ ?

Emilie a dit…

OK. Je peux commencer autre chose (petite interruption à prévoir ce we, mais c'est ok pour demain matin, lundi et mardi en pointillés, avant mon départ mercredi).