mardi 26 août 2014

Projet Aurélie – phrases 19-20

A Bárbara la buscaban señores platudos y a veces la llevaban a comer a un chifa, a bailar al «Bertoloto» y después al «Cinco y Medio», donde ella les hacía cosas bien ricas que se multiplicaban por los espejos del techo. Madame creía que en cualquier momento la Bárbara se casaba y que se quedaría sin la estrella de la casa, pero por lo menos tenía a la Milagros que era como la gallina de los huevos de oro.

Traduction temporaire :
Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries, démultipliées par les miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pourrait se marier n'importe quand et qu'alors, elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, une vraie poule aux œufs d'or.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au «Bertoloto» et ensuite au «Cinco y Medio», où elle leur faisait des gâteries qui se multipliaient aux miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pouvait se marier n'importe quand et qu'elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, c'était une vraie poule aux oeufs d'or.

Tradabordo a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries [virgule] qui se multipliaient aux [pas sûre que ce soit correct ; quoi qu'il en soit, ça manque de fluidité] miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pouvait [temps ? J'hésite] se marier n'importe quand et qu'[cheville : « qu'alors, » ?]elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, c'était [nécessaire] une vraie poule aux oeufs [œ] d'or.

Unknown a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries, multipliées par les miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pourrait se marier n'importe quand et qu'alors, elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, une vraie poule aux œufs d'or.

Tradabordo a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries, [«dé» ?]multipliées par les miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pourrait se marier n'importe quand et qu'alors, elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, une vraie poule aux œufs d'or.

Unknown a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries, démultipliées par les miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pourrait se marier n'importe quand et qu'alors, elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, une vraie poule aux œufs d'or

Tradabordo a dit…

Des hommes friqués venaient pour Bárbara et ils l'emmenaient parfois manger dans un restaurant chinois, danser au « Bertoloto » et ensuite au « Cinco y Medio », où elle leur faisait des gâteries, démultipliées par les miroirs du plafond. Madame pensait que Bárbara pourrait se marier n'importe quand et qu'alors, elle perdrait la vedette de la maison, mais au moins, elle avait la Milagros, une vraie poule aux œufs d'or.

OK.