dimanche 31 août 2014

Projet Caroline 2 – phrases 104-107

»Y ahora veo, no sin poco asombro, cómo se avecina su caída definitiva, cuando la condición del poderoso tirano ha llegado a ser como la nuestra. Pues sabe muy bien que sin acólitos no es nada. No puedo llamar a esto desquite, pues tiene sabor amargo y apenas sirve para mi consuelo. Porque, amigos, esto es el fin también para nosotros. Pero hablad vosotros ahora, lo que os dicte el corazón, que no habrá ningún reproche por mi parte.

Traduction temporaire :
» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont sa chute définitive approche, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

10 commentaires:

Caroline a dit…

» Et je vois à présent, non sans un léger étonnement, comment s'approche sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue identique à la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et suffit à peine à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Tradabordo a dit…

» Et je vois à présent, non sans un léger étonnement, comment s'approche sa chute définitive [syntaxe ?], alors que la situation du puissant tyran est devenue identique à la nôtre [ou « la nôtre » tout court ? J'hésite sur l'interprétation]. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et suffit à peine [naturel ?] à me réconforter. Car, [virgule nécessaire ? J'hésite…] mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le [ou : « selon ce que vous » ? Comme vous voulez] dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Caroline a dit…

» Et je vois à présent, non sans un léger étonnement, la façon dont s'approche sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et parvient à peine à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

On peut opter pour "est devenue la nôtre" puisqu'il reprend ensuite : "ceci est la fin pour nous également"

Tradabordo a dit…

» Et je vois à présent, non sans un léger étonnement, la façon dont s'approche sa chute définitive [a syntaxe n'est pas très fluide ; essayez en inversant…], alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et parvient à peine [« n'est guère apte » ?] à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Caroline a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont s'approche sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Cela ne m'a pas paru gênant de supprimer le premier "Et" qui ne porte pas vraiment de sens...

Tradabordo a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont s'[nécessaire ? Je crois que ce serait mieux sans] approche sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Caroline a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont approche sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Tradabordo a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont approche [mettez le verbe après ; ce sera beaucoup plus naturel] sa chute définitive, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Caroline a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont sa chute définitive approche, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

Tradabordo a dit…

» Non sans un certain étonnement, je vois à présent la façon dont sa chute définitive approche, alors que la situation du puissant tyran est devenue la nôtre. En effet, il sait très bien que sans acolytes, il n'est plus rien. Je n'appellerai pas cela une revanche, puisqu'elle a un goût amer et n'est guère apte à me réconforter. Car, mes amis, ceci est la fin pour nous également. Mais à vous la parole maintenant, parlez comme vous le dicte votre cœur, je ne vous ferai aucun reproche.

OK.