jeudi 21 août 2014

Projet Céline 2 – phrases 44-46

Por momentos un cascote de nieve que caía de una rama lo sobresaltaba. No había huella en el camino, haría una semana que no pasaba nadie. La huella la tenía que hacer él, pero si seguía nevando así, para la vuelta ya estaría tapada. Era difícil reconocer el camino en medio de la blancura que camuflaba lo que conocía bien: la piedra grande, el tronco podrido, hasta los árboles se veían distintos.

Traduction temporaire :
Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. C'est lui qui devait faire une trace, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elle serait recouverte à son retour. Il était difficile de reconnaître le sentier au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. Il devait produire ses propres traces, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elles seraient déjà recouvertes à son retour. Il était difficile de reconnaitre le chemin au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

Tradabordo a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. Il devait produire ses propres traces [« C'est lui qui devait faire une trace »], mais s’il continuait de neiger de la sorte, elles seraient déjà [mal dit] recouvertes à son retour. Il était difficile de reconnaitre [accent circonflexe] le chemin [un moyen de ne pas répéter ?] au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

Unknown a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. C'est lui qui devait faire une trace, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elles seraient recouvertes à son retour. Il était difficile de reconnaître le sentier au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

Tradabordo a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. C'est lui qui devait faire une trace, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elles seraient recouvertes [pas embêtant que tu sois au singulier au début et au pluriel ici ?] à son retour. Il était difficile de reconnaître le sentier au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

Unknown a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. C'est lui qui devait faire une trace, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elle serait recouverte à son retour. Il était difficile de reconnaître le sentier au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

Tradabordo a dit…

Par moments, une couche de neige tombait d’une branche et le faisait sursauter. Il n’y avait aucune empreinte sur le chemin, personne n’avait dû y passer depuis une semaine. C'est lui qui devait faire une trace, mais s’il continuait de neiger de la sorte, elle serait recouverte à son retour. Il était difficile de reconnaître le sentier au milieu d’une blancheur qui camouflait ce qu’il connaissait pourtant bien : la grande pierre, le tronc pourri ; même les arbres étaient différents.

OK.