mercredi 27 août 2014

Projet Céline 2 – phrases 52-56

Calculó que había caminado unas dos horas. La nieve seguía cayendo en copos pequeños y se le pegaba en el rostro. Ahora no le quedaba más remedio que seguir. Si paraba moriría; sabía además que pasando la cuesta vería entre los árboles el techo de La María. Cuando vio la casona gris y el humo que desde la chimenea subía derechito sin desparramarse se le pasó el cansancio y la angustia, pero no el dolor de los pies.

Traduction temporaire :
Il calcula qu’il avait marché environ deux heures. La neige continuait de tomber à petits flocons et lui collait au visage. À présent, il n’avait plus d’autre choix que de poursuivre sa route. S’il s’arrêtait, il mourrait. De plus, il savait qu’une fois la côte franchie, il apercevrait le toit de La María à travers les arbres. Quand il vit la maison grise et la fumée de cheminée qui montait droit vers le ciel, sans s’éparpiller, sa fatigue et son angoisse se dissipèrent, mais pas sa douleur aux pieds.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Après une longue absence, je profite de ces premières vacances (bien méritées !) pour reprendre un peu la traduction, si on veut toujours de moi par ici !

Il calcula qu’il avait marché environ deux heures. La neige continuait de tomber à petits flocons et restait collée sur son visage. À présent, il n’avait plus d’autre choix que de poursuivre sa route. S’il s’arrêtait, il mourrait. De plus, il savait qu’une fois la côte franchie, il apercevrait à travers les arbres le toit de La María. Quand il vit la maison grise et la fumée de cheminée qui montait droit au ciel, sans s’éparpiller, sa fatigue et son angoisse se dissipèrent, mais pas sa douleur aux pieds.

Tradabordo a dit…

Bah évidemment ;-) Essaie de boucler avant la reprise. Tu sais comment c'est… Je n'aime pas que ça traîne – gênant vis-à-vis des auteurs.

Il calcula qu’il avait marché environ deux heures. La neige continuait de tomber à petits flocons et restait collée [simplifie] sur son visage. À présent, il n’avait plus d’autre choix que de poursuivre sa route. S’il s’arrêtait, il mourrait. De plus, il savait qu’une fois la côte franchie, il apercevrait à travers les arbres le toit de La María [essaie avec une autre syntaxe]. Quand il vit la maison grise et la fumée de cheminée qui montait droit au [?] ciel, sans s’éparpiller, sa fatigue et son angoisse se dissipèrent, mais pas sa douleur aux pieds.

Unknown a dit…

Il calcula qu’il avait marché environ deux heures. La neige continuait de tomber à petits flocons et lui collait au visage. À présent, il n’avait plus d’autre choix que de poursuivre sa route. S’il s’arrêtait, il mourrait. De plus, il savait qu’une fois la côte franchie, il apercevrait le toit de La María à travers les arbres. Quand il vit la maison grise et la fumée de cheminée qui montait droit vers le ciel, sans s’éparpiller, sa fatigue et son angoisse se dissipèrent, mais pas sa douleur aux pieds.

Tradabordo a dit…

Il calcula qu’il avait marché environ deux heures. La neige continuait de tomber à petits flocons et lui collait au visage. À présent, il n’avait plus d’autre choix que de poursuivre sa route. S’il s’arrêtait, il mourrait. De plus, il savait qu’une fois la côte franchie, il apercevrait le toit de La María à travers les arbres. Quand il vit la maison grise et la fumée de cheminée qui montait droit vers le ciel, sans s’éparpiller, sa fatigue et son angoisse se dissipèrent, mais pas sa douleur aux pieds.

OK.