mercredi 13 août 2014

Projet Élise 3 – phrases 196-204

Despertó en el mismo callejón de putas donde empezara la pesadilla. Sobre la acera húmeda se demoraban las hojas de un diario al que el viento se obstinaba en dar clases de vuelo. Hacía frío, pero el exoprot lo mantenía arropado en una engañosa calidez.
¿Qué se te ofrece, hermano? —La voz ligeramente sofocada de una mujer sonó junto al hombro de Zebrel.
Que alguien me saque de esta lata de sardinas —dijo él en un tono extrañamente firme. Pero la descarga llegó puntualmente, y con ella la amenaza del operador de turno en la base.
Ella vende su cuerpo al primero que se le cruza y busca redención. Dale lo que pide. No te preocupes si tu poder la lastima; ella necesita dolor para redimirse.

Traduction temporaire :

Il se réveilla là où avait commencé le cauchemar, dans la ruelle à putes. Les feuilles d'un journal s'attardaient sur le trottoir humide, le vent s'obstinait à leur donner des leçons de vol. Il faisait froid, mais l'exoprot l'enveloppait dans une chaleur trompeuse.
— Qu'est-ce que tu veux, mon frère ?
La voix légèrement étouffée d'une femme résonna juste derrière l'épaule de Zebrel.
— Que quelqu'un me sorte de cette boîte de sardines, répliqua-t-il sur un ton étrangement ferme.
Malheureusement pour lui, la décharge arriva immanquablement et, avec elle, la menace de l'opérateur en service à la base.
— Elle vend son corps au premier venu et cherche la rédemption. Donne-lui ce qu'elle réclame. Ne te préoccupe pas de savoir si ton pouvoir la blesse ; elle a besoin de la douleur pour se racheter.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il se réveilla dans la même ruelle à putes où avait commencé le cauchemar. Sur le trottoir humide s'attardaient les feuilles d'un journal, le vent s'obstinait à lui donner des leçons de vol. Il faisait froid, mais l'exoprot le maintenait emmitouflé dans une chaleur trompeuse.
— Qu'est-ce que tu veux, mon frère ? La voix légèrement étouffée d'une femme résonna juste derrière l'épaule de Zebrel.
— Que quelqu'un me sorte de cette boîte de sardines, répliqua-t-il sur un ton étrangement ferme. Mais la décharge arriva immanquablement et, avec elle, la menace de l'opérateur en service à la base.
— Elle vend son corps au premier venu et cherche la rédemption. Donne-lui ce qu'elle réclame. Ne te préoccupe pas de savoir si ton pouvoir la blesse ; elle a besoin de la douleur pour se racheter.

Tradabordo a dit…

Il se réveilla dans la même ruelle à putes où avait commencé le cauchemar [la syntaxe n'est pas très fluide]. Sur le trottoir humide s'attardaient les feuilles d'un journal [idem : syntaxe ?], le vent s'obstinait à lui donner des leçons de vol [reprends l'ensemble]. Il faisait froid, mais l'exoprot le maintenait emmitouflé [ou simplement : « l'enveloppait » ? Comme tu veux] dans une chaleur trompeuse.
— Qu'est-ce que tu veux, mon frère ?
La voix légèrement étouffée d'une femme résonna juste derrière l'épaule de Zebrel.
— Que quelqu'un me sorte de cette boîte de sardines, répliqua-t-il sur un ton étrangement ferme.
Mais [nécessaire ? Ou alors : « Malheureusement pour lui » ?] la décharge arriva immanquablement et, avec elle, la menace de l'opérateur en service à la base.
— Elle vend son corps au premier venu et cherche la rédemption. Donne-lui ce qu'elle réclame. Ne te préoccupe pas de savoir si ton pouvoir la blesse ; elle a besoin de la douleur pour se racheter.

Unknown a dit…

Il se réveilla là où avait commencé le cauchemar, dans la ruelle à putes. Les feuilles d'un journal s'attardaient sur le trottoir humide, le vent s'obstinait à leur donner des leçons de vol. Il faisait froid, mais l'exoprot l'enveloppait dans une chaleur trompeuse.
— Qu'est-ce que tu veux, mon frère ?
La voix légèrement étouffée d'une femme résonna juste derrière l'épaule de Zebrel.
— Que quelqu'un me sorte de cette boîte de sardines, répliqua-t-il sur un ton étrangement ferme.
Malheureusement pour lui, la décharge arriva immanquablement et, avec elle, la menace de l'opérateur en service à la base.
— Elle vend son corps au premier venu et cherche la rédemption. Donne-lui ce qu'elle réclame. Ne te préoccupe pas de savoir si ton pouvoir la blesse ; elle a besoin de la douleur pour se racheter.

Tradabordo a dit…

Il se réveilla là où avait commencé le cauchemar, dans la ruelle à putes. Les feuilles d'un journal s'attardaient sur le trottoir humide, le vent s'obstinait à leur donner des leçons de vol. Il faisait froid, mais l'exoprot l'enveloppait dans une chaleur trompeuse.
— Qu'est-ce que tu veux, mon frère ?
La voix légèrement étouffée d'une femme résonna juste derrière l'épaule de Zebrel.
— Que quelqu'un me sorte de cette boîte de sardines, répliqua-t-il sur un ton étrangement ferme.
Malheureusement pour lui, la décharge arriva immanquablement et, avec elle, la menace de l'opérateur en service à la base.
— Elle vend son corps au premier venu et cherche la rédemption. Donne-lui ce qu'elle réclame. Ne te préoccupe pas de savoir si ton pouvoir la blesse ; elle a besoin de la douleur pour se racheter.

OK.