lundi 18 août 2014

Projet Élise 3 – phrases 205-215

Te ofrezco la paz a través del sufrimiento —improvisó Zebrel. Nadie le había dicho sobre qué asuntos debía predicar, pero era indiscutible que ciertas palabras clave evitaban la descarga.
Ah, uno de esos —dijo la prostituta—. No necesito sufrir. Me gano la vida con el placer, aunque sea el placer ajeno. Y aunque el dinero sea poco.
¡Ahora! —urgió la voz del monitor—. El lazo.
¡Corra! —dijo Zebrel. No tenía ninguna intención de activar el lazo.
La mujer lo miró espantada, aunque comprendió de inmediato. Corrió sin pensar, martillando el pavimento con sus plataformas de cristal y perdiendo el chal que le cubría los pechos, pero siguió corriendo y puso suficiente distancia a tiempo, mientras el puñetazo eléctrico hacía su trabajo y sumía a Zebrel en la inconsciencia.

Traduction temporaire :
— Je t'offre la paix par à la souffrance, improvisa Zebrel. Personne ne lui avait expliqué à propos de quels sujets il devait prêcher, mais, indiscutablement, certaines paroles lui évitaient la décharge.
— Ah, encore eux…, maugréa la prostituée. Je n'ai pas besoin de souffrir. Je gagne ma vie grâce au plaisir, bien que le plaisir me soit étranger et que les revenus soient maigres.
— Maintenant ! pressa la voix du moniteur. La corde !
— Courrez ! cria Zebrel. Il n'avait pas l'intention d'activer la corde.

La femme le regarda, épouvantée, mais comprit immédiatement. Elle courut sans réfléchir, martelant les pavés avec ses plateformes de verre et perdant le châle qui lui couvrait les seins, mais elle n'en continua pas moins sa course et s'éloigna suffisamment à temps, alors que la claque électrique exécutait son travail et replongeait Zebrel dans l'inconscience.

4 commentaires:

Unknown a dit…

— Je t'offre la paix par à la souffrance, improvisa Zebrel. Personne ne lui avait expliqué à propos de quels sujets il devait prêcher mais, indiscutablement, certaines paroles lui évitaient la décharge.
— Ah, encore un de ceux-là… maugréa la prostituée. Je n'ai pas besoin de souffrir. Je gagne ma vie grâce au plaisir, bien que le plaisir me soit étranger. Bien que les revenus soient maigres.
— Maintenant ! pressa la voix du moniteur. La corde !
— Courrez ! cria Zebrel. Il n'avait pas l'intention d'activer la corde articulée.
La femme le regarda, épouvantée, mais comprit immédiatement. Elle courut sans réfléchir, martelant les pavés avec ses plateformes de verre et perdant le châle qui lui couvrait les seins, mais elle continua sa course et s'éloigna suffisamment à temps, pendant que le coup de poing électrique faisait son travail et plongeait Zebrel dans l'inconscience.

Tradabordo a dit…

— Je t'offre la paix par à la souffrance, improvisa Zebrel. Personne ne lui avait expliqué à propos de quels sujets il devait prêcher, mais, indiscutablement, certaines paroles lui évitaient la décharge.
— Ah, encore un de ceux-là [naturel ?]…, maugréa la prostituée. Je n'ai pas besoin de souffrir. Je gagne ma vie grâce au plaisir, bien que le plaisir me soit étranger. Bien que les revenus soient maigres.
— Maintenant ! pressa la voix du moniteur. La corde !
— Courrez ! cria Zebrel. Il n'avait pas l'intention d'activer la corde articulée [?].
La femme le regarda, épouvantée, mais comprit immédiatement. Elle courut sans réfléchir, martelant les pavés avec ses plateformes de verre et perdant le châle qui lui couvrait les seins, mais [passe par « pas moins »] elle continua sa course et s'éloigna suffisamment à temps, pendant que le coup de poing électrique faisait son travail et plongeait Zebrel dans l'inconscience [la fin manque beaucoup de naturel ; reprends tout ça].

Unknown a dit…

— Je t'offre la paix par à la souffrance, improvisa Zebrel. Personne ne lui avait expliqué à propos de quels sujets il devait prêcher, mais, indiscutablement, certaines paroles lui évitaient la décharge.
— Ah, encore eux…, maugréa la prostituée. Je n'ai pas besoin de souffrir. Je gagne ma vie grâce au plaisir, bien que le plaisir me soit étranger. Bien que les revenus soient maigres.
— Maintenant ! pressa la voix du moniteur. La corde !
— Courrez ! cria Zebrel. Il n'avait pas l'intention d'activer la corde articulée [il parle de l'espèce de lasso métallique utilisé contre lui au début, je trouvais que c'était pas forcément clair mais j'enlève "articulé" si tu penses que ce n'est pas nécessaire. ].
La femme le regarda, épouvantée, mais comprit immédiatement. Elle courut sans réfléchir, martelant les pavés avec ses plateformes de verre et perdant le châle qui lui couvrait les seins, mais elle n'en continua pas moins sa course et s'éloigna suffisamment à temps, alors que la claque électrique exécutait son travail et replongeait Zebrel dans l'inconscience.

Tradabordo a dit…

— Je t'offre la paix par à la souffrance, improvisa Zebrel. Personne ne lui avait expliqué à propos de quels sujets il devait prêcher, mais, indiscutablement, certaines paroles lui évitaient la décharge.
— Ah, encore eux…, maugréa la prostituée. Je n'ai pas besoin de souffrir. Je gagne ma vie grâce au plaisir, bien que le plaisir me soit étranger et que les revenus soient maigres.
— Maintenant ! pressa la voix du moniteur. La corde !
— Courrez ! cria Zebrel. Il n'avait pas l'intention d'activer la corde.
La femme le regarda, épouvantée, mais comprit immédiatement. Elle courut sans réfléchir, martelant les pavés avec ses plateformes de verre et perdant le châle qui lui couvrait les seins, mais elle n'en continua pas moins sa course et s'éloigna suffisamment à temps, alors que la claque électrique exécutait son travail et replongeait Zebrel dans l'inconscience.

OK.