mercredi 20 août 2014

Projet Élise 4 – phrases 43-44

Me armé de valor y abrí la puerta. El muerto seguía allí. Lo miré con atención, con la desagradable sensación de estar en presencia de algo conocido, ante la repetición de la imagen de un sueño preservado en la retina con la memoria del despertar.

Traduction temporaire :
Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai attentivement, avec la désagréable sensation de déjà-vu face à la reproduction de l'image d'un rêve que la mémoire avait incrustée sur ma rétine au moment du réveil.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai avec attention, avec la désagréable sensation de déjà-vu, face à la répétition de l'image d'un rêve incrustée sur la rétine avec la mémoire du réveil.

Tradabordo a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai avec attention [« attentivement » ; pour éviter les deux « avec »], avec la désagréable sensation de déjà-vu, face à la répétition de l'image d'un rêve incrustée sur la rétine avec la mémoire du réveil [euh… est-ce vraiment clair ? ;-)].

Unknown a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai attentivement, avec la désagréable sensation de déjà-vu face à la répétition de l'image d'un rêve incrustée sur la rétine grâce à la mémoire au moment du réveil.

Tradabordo a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai attentivement, avec la désagréable sensation de déjà-vu face à la répétition de l'image d'un rêve incrustée sur la rétine grâce à [pas sûre de l'interprétation ; demande à Elena] la mémoire au moment du réveil.

Unknown a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai attentivement, avec la désagréable sensation de déjà-vu face à la reproduction de l'image d'un rêve que la mémoire avait incrustée sur ma rétine au moment du réveil.

Elena m'a conseillé de modifier la syntaxe de cette façon, je trouve que c'est mieux effectivement ! ;)

Tradabordo a dit…

Je m'armai de courage et ouvris la porte. Le mort était toujours là. Je le regardai attentivement, avec la désagréable sensation de déjà-vu face à la reproduction de l'image d'un rêve que la mémoire avait incrustée sur ma rétine au moment du réveil.

OK.