jeudi 21 août 2014

Projet Élodie 9 – phrases 45-53

En cambio Raúl es parecido a su papa, prolijo, ordenado en todo lo que hace, pero siempre solo, de mal humor, y agresivo conmigo.
Bueno, Fran, ¿qué deberes te faltan? A ver, matemáticas; no sé cómo te voy a ayudar, estos ejercicios de ahora no los entiendo. Empezá ya, si no llega la noche y acá estamos. —El niño se aplica, pero no entiende nada—. ¡Bestia! —le grito—. Fíjate que esto es una suma. ¿Qué hacés, estúpido? Estás restando; no tenés dos dedos de frente, animal. Leé, lee bien lo que dice, sumar, ¡sumar! —Lo empiezo a golpear, en la cabeza, un cachetón que se siente hasta en el palier; le doy otro, y otro, no puedo parar; me duele la mano.

Traduction temporaire :

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Des mathématiques ? Je ne sais pas comment je vais t'aider, parce que ces exercices de maintenant, je ne les saisis pas. Allez, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas une once d'intelligence, crétin. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

8 commentaires:

Elodie a dit…

En revanche, Raúl ressemble à son père, prolixe, ordonné dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Alors, des mathématiques ; je ne sais pas comment je vais t'aider, ces exercices de maintenant je ne les comprends pas. Allez commence, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot !, je lui crie. Rends-toi compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas un poil d'intelligence, animal. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, sur la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Tradabordo a dit…

En revanche [essaie de le mettre après], Raúl ressemble à son père, prolixe, ordonné [ou « organisé » ? J'hésite] dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Alors [naturel ?], des mathématiques ; [pas de ; et de : dans la dialogues] je ne sais pas comment je vais t'aider, [cheville : « parce que » ou inutile ? À toi de voir] ces exercices de maintenant [virgule] je ne les comprends pas. Allez commence [naturel ?], la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend [un moyen de ne pas répéter « comprendre » ?] rien. Idiot ! je lui crie. Rends-toi compte que ça [ce début n'est pas du tout naturel], c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas un poil [naturel ?] d'intelligence, animal [naturel ?]. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, sur [« à »] la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Elodie a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Voyons, des mathématiques, je ne sais pas comment je vais t'aider parce que ces exercices de maintenant, je ne les comprends pas. Allez vas-y, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne saisit rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas un grain d'intelligence, pauvre animal. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Tradabordo a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Voyons [nécessaire ?], des mathématiques, je ne sais pas comment je vais t'aider [virgule] parce que ces exercices de maintenant, je ne les comprends pas. Allez vas-y [bof], la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne saisit [pas très naturel ici ; je pense qu'il vaut mieux changer l'autre] rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas un grain [« once »] d'intelligence, pauvre animal [peu naturel en français]. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Elodie a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Des mathématiques, je ne sais pas comment je vais t'aider, parce que ces exercices de maintenant, je ne les saisis pas. Allez, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas une once d'intelligence, crétin. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Tradabordo a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Des mathématiques, [point d'interrogation ?] je ne sais pas comment je vais t'aider, parce que ces exercices de maintenant, je ne les saisis pas. Allez, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas une once d'intelligence, crétin. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Elodie a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Des mathématiques ? Je ne sais pas comment je vais t'aider, parce que ces exercices de maintenant, je ne les saisis pas. Allez, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas une once d'intelligence, crétin. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

Tradabordo a dit…

Raúl, en revanche, ressemble à son père, prolixe, organisé dans tout ce qu'il fait, mais toujours seul, de mauvaise humeur et agressif avec moi.
— Bon, Fran, qu'est-ce qu'il te reste à faire comme devoirs ? Des mathématiques ? Je ne sais pas comment je vais t'aider, parce que ces exercices de maintenant, je ne les saisis pas. Allez, la nuit tombe et on y est encore. L'enfant s'applique, mais ne comprend rien. Idiot ! je lui crie. Tu te rends bien compte que ça, c'est une addition. Qu'est-ce que tu fais, abruti ? Tu es en train de soustraire, tu n'as pas une once d'intelligence, crétin. Lis, lis bien ce qui est dit, additionner, additionner ! Je commence à le frapper, à la tête, un coup qui s'entend jusque sur le palier, je lui en donne un autre et encore un autre, je ne peux pas m'arrêter ; j'ai mal à la main.

OK.