jeudi 14 août 2014

Projet Hélène 3 – phrases 56-65

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Cerca al anochecer, Natashenka llegó más silenciosa que otras veces a la nueva casa que el gobierno les había otorgado. Fue ese mismo día que Gorbachov habló por televisión: “Buenas tardes camaradas. Todos saben que ha habido un desafortunado evento... el accidente en la planta nuclear de Chernobyl.” Natashenka se sentó a la mesa junto con Aliaksei. “Esto ha afectado dolorosamente a la población soviética y escandalizado a la comunidad internacional.” “Papá. Un soldado me dijo que los muertos de la explosión están enterrados en el cementerio de la ciudad.” “Por primera vez, enfrentamos la fuerza real de la energía nuclear fuera de control.” “Que por razones de seguridad ya no fueron trasladados a ningún  hospital”. El viejo la miró pero no podía escuchar sus palabras porque, entremezcladas con las del televisor, eran sólo un ruido, un murmullo ininteligible, un hueco sordo que Aliaksei no podía descifrar.

Traduction temporaire :

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Plus silencieuse que jamais, Natashenka arriva peu avant la tombée de la nuit dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». « Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. » « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

8 commentaires:

Hélène a dit…

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Peu avant que le nuit tombe, Natashenka arriva plus silencieuse qu’à l’accoutumée dans leur nouvelle maison, attribuée par le gouvernement. Ce jour-là, Gorbatchev fit une allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes soumis à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun ne fut transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, mais il ne put écouter ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

Tradabordo a dit…

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Peu avant que le nuit tombe [ou avec « la tombée de la nuit»], Natashenka arriva plus silencieuse qu’à l’accoutumée [est-ce le même sens ?] dans leur nouvelle maison, attribuée [ou « assignée » ? Comme tu veux] par le gouvernement. Ce jour-là [« C'est précisément ce jour-là que » ?], Gorbatchev fit une [« son » / « sa fameuse » ?] allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes soumis [« confrontés » ?] à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun ne fut [plutôt pas le passé simple dans le discours direct] transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, mais il ne put écouter [avec « entendre » + simplifie] ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

Hélène a dit…

4

Peu avant la tombée de la nuit, Natashenka arriva plus silencieuse que jamais dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer

Tradabordo a dit…

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Peu avant la tombée de la nuit, Natashenka arriva [mets ça au début] plus silencieuse que jamais dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer

Hélène a dit…

4

Natashenka arriva peu avant la tombée de la nuit plus silencieuse que jamais dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

Tradabordo a dit…

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Natashenka arriva peu avant la tombée de la nuit plus silencieuse [non, commence par ça ; sinon, on aura un pb de ponctuation, qui introduira un CS] que jamais dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

Hélène a dit…

4

Plus silencieuse que jamais, Natashenka arriva peu avant la tombée de la nuit dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

Tradabordo a dit…

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Plus silencieuse que jamais, Natashenka arriva peu avant la tombée de la nuit dans leur nouvelle maison, assignée par le gouvernement. C'est précisément ce jour-là que Gorbatchev fit sa fameuse allocution à la télévision : « Bonsoir camarades. Comme vous le savez, un événement malheureux s’est produit… l’accident dans la centrale nucléaire de Tchernobyl ». Natashenka s’assit à table, à côté d’Aliaksei. « La population soviétique a subi de douloureux dommages et la communauté internationale est scandalisée ». « Papa, un soldat m’a dit que les morts de l’explosion sont enterrés dans le cimetière de la ville. » « Pour la première fois, nous sommes confrontés à la force réelle et incontrôlable de l’énergie nucléaire ». « Et que pour des raisons de sécurité, aucun n'a été transporté à l’hôpital. » Le vieux la regarda, sans entendre ses paroles, car, mêlées à celles du téléviseur, elles ne formaient qu’un bruit, un murmure inintelligible, un vide sourd qu’Aliaksei ne parvenait pas à déchiffrer.

OK.