lundi 18 août 2014

Projet Justine / Maxime – phrases 98-107

Doctor, todavía está a tiempo. Sigo teniendo ganas de hablar con usted.
Ya no soy el hombre flexible que fui, Aguinaga. Es inútil.
¿En dónde tiene el cuerpo, doctor Carlon? —revisó el arma, estaba cargada pero tenía que volver a asegurarse—. Hágame el favor.
Querido compañero, sólo vengo a constatar que todo está como lo dejé. Hoy se sabrá la verdad. Lo que usted pretende defender es algo muy complejo y que no llega a comprender. Es, justamente, lo que nos está matando. La moral del hombre ya no seguirá resquebrajándose, ya no. Pase por acá, lo invito a conocer el futuro.

Traduction temporaire :
— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.

— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne subira plus de préjudices, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

12 commentaires:

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. — Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je viens juste pour constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd’hui,la vérité se saura. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que je n’arrive pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme. Elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je viens juste [en le disant comme ça, tu n'es pas assez près du sens de la V.O. // reprends + corrige pb d'espace après] pour constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd’hui,la vérité se saura. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que je n’arrive pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. — Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je viens dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui,la vérité se saura. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que je n’arrive pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

Reprends à partir de ma dernière version ; comme je te l'ai dit plusieurs fois, je corrige des erreurs de mise en page, que tu remets la fois suivante en partant d'une autre version.

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je viens [« suis ici » ?] dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui,[espace]la vérité se saura [mal dit]. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que je [llega, pas llego !] n’arrive pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis ici dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis ici dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas de se fêler [pas très naturel en français], plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas d'être bafouée [ou « on ne portera plus atteinte à la morale de l'homme » ? ], plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne continuera pas d'être bafouée [ou « on ne portera plus atteinte à la morale de l'homme » ? OK], plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. On ne portera plus atteinte à la morale de l'homme, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. On ne portera plus atteinte à la morale de l'homme [tout bien réfléchi, il vaut mieux calquer davantage sur le texte ; faire de « la morale » le sujet… car là, je ne suis pas certaine qu'on ne modifie pas légèrement le sens], plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Justine a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne subira plus de préjudices, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

Tradabordo a dit…

— Docteur, il est encore temps. J’ai toujours envie de m’entretenir avec vous.
— Je ne suis plus l’homme flexible que j’étais, Aguinaga. C’est inutile.
— Où avez-vous mis le corps, Docteur Carlon ? Il vérifia son arme, elle était chargée, mais il avait de nouveau besoin de s’en assurer. Accordez-moi cette faveur.
— Cher collègue, je suis là dans le seul but de constater que tout est comme je l’avais laissé. Aujourd'hui, la vérité sera révélée. Ce que vous prétendez défendre est quelque chose de très complexe, que vous n’arrivez pas à comprendre. C’est justement ce qui est en train de nous tuer. La morale de l'homme ne subira plus de préjudices, plus maintenant. Entrez ici, je vous invite à découvrir l’avenir.

OK.