jeudi 21 août 2014

Projet Morgane 12 – phrases 79-82

 La droga me volvía un poco más lelo y cretino de lo que hubiera deseado. A veces pensaba en los desaparecidos y sentía una pena inmóvil que solo me daba deseos de prenderme otro troncho y echarme a dormir. Recuerdo habérselo contado un día a Abraham y quedarme sorprendido con su respuesta. «Se los llevan por terrucos» dijo convencido, sin muchas ganas de argumentar; cuando intenté que me explicara mejor lo que había dicho, respondió que no quería y cambió drásticamente de tema exigiendo que le hiciera el bajo con Mercedes, que nada me costaba pues carajo, que me dejara de huevadas de una vez y no fuera celoso y amarrete con la prima.

Traduction temporaire :
La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile, qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de roupiller. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et avoir été surpris de sa réponse. "Ils les emmènent parce que ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir discuter davantage ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son point de vue, il avait affirmé qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien, enfin merde quoi, que je mette un terme à mes conneries une bonne fois pour toutes, que j'arrête d'être jaloux, et que je sorte avec la cousine.

6 commentaires:

Unknown a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de m'endormir. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et être surpris de sa réponse. "Ils les emmènent car ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir argumenter plus ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son affirmation, il avait ajouté qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien enfin merde, que j'arrête mes conneries une bonne fois pour toutes, que je ne sois pas jaloux, et que je sorte avec la cousine.

Tradabordo a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile [virgule ?] qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de m'endormir [un peu plat par rapport à la V.O.]. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et être [« avoir été »] surpris de sa réponse. "Ils les emmènent car ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir argumenter plus [pas très naturel] ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son affirmation [idem], il avait ajouté [pas adapté, du coup] qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien [virgule] enfin merde, [cheville : « quoi »] que j'arrête mes conneries une bonne fois pour toutes, que je ne sois [« que j'arrête d'être » ? Ce serait plus naturel… Je sais que tu as le pb de la répétition de « arrêter », mais vois si tu ne peux pas changer l'autre] pas jaloux, et que je sorte avec la cousine.

Unknown a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile, qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de roupiller. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et avoir été surpris de sa réponse. "Ils les emmènent car ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir parlementer davantage ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son point de vue, il avait affirmé qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien, enfin merde quoi, que je mette un terme à mes conneries une bonne fois pour toutes, que j'arrête d'être jaloux, et que je sorte avec la cousine.

Tradabordo a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile, qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de roupiller. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et avoir été surpris de sa réponse. "Ils les emmènent car [dans ce type de dialogue « parce que », non ?] ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir parlementer [naturel ?] davantage ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son point de vue, il avait affirmé qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien, enfin merde quoi, que je mette un terme à mes conneries une bonne fois pour toutes, que j'arrête d'être jaloux, et que je sorte avec la cousine.

Unknown a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile, qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de roupiller. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et avoir été surpris de sa réponse. "Ils les emmènent parce que ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir discuter davantage ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son point de vue, il avait affirmé qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien, enfin merde quoi, que je mette un terme à mes conneries une bonne fois pour toutes, que j'arrête d'être jaloux, et que je sorte avec la cousine.

Tradabordo a dit…

La drogue me rendait un peu plus niais et crétin que ce que j'aurais voulu. Parfois, je pensais aux disparus et je ressentais une peine immobile, qui me donnait seulement envie de me fumer un autre pétard et de roupiller. Je me rappelle l'avoir raconté à Abraham une fois, et avoir été surpris de sa réponse. "Ils les emmènent parce que ce sont des terroristes" avait-il dit, convaincu, sans vouloir discuter davantage ; quand je lui avais demandé de m'expliquer son point de vue, il avait affirmé qu'il ne voulait pas et avait complètement changé de sujet, exigeant que je parle de lui à Mercedes, que ça ne me coûtait rien, enfin merde quoi, que je mette un terme à mes conneries une bonne fois pour toutes, que j'arrête d'être jaloux, et que je sorte avec la cousine.

OK.