lundi 18 août 2014

Projet Noemi 3 – phrases 21-24

No te muevas, le dijo el médico, quédate aquí, siguió, y disparado corrió en búsqueda de sus colegas. No van a creerme, breve y concisa, contó, cálida, sin perder el toque humano, la imitó, y una sonrisa… Esa noche, mientras Toya y su hermana se secaban las lágrimas una a otra, mamá fue contratada. Desde entonces, tardes y mañanas, mañanas y noches, noches y tardes, ella, acompañada del médico de turno y vestida también de blanco, comunica la noticia.

Traduction temporaire :
Ne bouge pas, s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta-t-il avant de sortir en courant, à la recherche de ses confrères. Vous n'allez pas me croire : brève, concise et chaleureuse, sans oublier la petite touche humaine, leur raconta-t-il. Il l'imita, puis un sourire… Cette nuit-là, tandis que Toya et sa sœur séchaient leurs larmes mutuellement, maman fut embauchée. Depuis, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

8 commentaires:

Unknown a dit…

« Ne bouge pas », s'exclama le médecin. « Reste ici », ajouta t-il avant de sortir en courant à la recherches de ses confrères. « Vous n'allez pas me croire, brève et concise », raconta t-il, « chaleureuse, sans perdre la petite touche humaine », il l'imita, puis un sourire … Cette nuit là, tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les larmes, maman fut embauchée. Depuis lors, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Tradabordo a dit…

« Ne bouge pas » [je crois qu'on en a déjà parlé pour ce qui précède, mais je ne suis pas certaine : pourquoi l'ajout des guillemets, qui ne sont pas en V.O. ? Vérifiez, dites-moi…], s'exclama le médecin. « Reste ici », ajouta t-il avant de sortir en courant à la recherches de ses confrères. « Vous n'allez pas me croire, brève et concise », raconta t-il, « chaleureuse, sans perdre la petite touche humaine », il l'imita, puis un sourire … Cette nuit là, tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les larmes, maman fut embauchée. Depuis lors, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Unknown a dit…

Ne bouge pas [En vérifiant les phrases précédentes de ce même texte, je m’aperçois qu'au début il y a des guillemets en VF mais ensuite nous les avons supprimés; avec des guillemets ça me semblait plus clair mais peut-être que ça simplifie un peu trop le texte], s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta t-il avant de sortir en courant à la recherches de ses confrères. Vous n'allez pas me croire, brève et concise, raconta t-il, chaleureuse, sans perdre la petite touche humaine, il l'imita, puis un sourire … Cette nuit là, tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les larmes, maman fut embauchée. Depuis lors, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Tradabordo a dit…

Ne bouge pas [En vérifiant les phrases précédentes de ce même texte, je m’aperçois qu'au début il y a des guillemets en VF mais ensuite nous les avons supprimés; avec des guillemets ça me semblait plus clair mais peut-être que ça simplifie un peu trop le texte // je pense qu'il faut faire comme en V.O. ; c'est certainement à dessein que l'auteur procède ainsi… pour mêler/fusionner voix du personnage, voix du narrateur ; quand vous ferez vos relectures, il faudra penser à les supprimer là où c'est resté], s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta [tiret] t-il avant de sortir en courant [virgule] à la recherches [grammaire ! Attention de bien vous relire avant de publier] de ses confrères. Vous n'allez pas me croire, brève et concise, raconta [tiret ; comme ça n'est manifestement pas un oubli la première, attention : c'est une faute] [bon, là, il y a un pb ; on ne comprend pas grand-chose… reprenez // sans doute faudra-t-il travailler sur la syntaxe] t-il, chaleureuse, sans perdre la petite touche humaine, il l'imita, puis un sourire … Cette nuit là, tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les larmes, maman fut embauchée. Depuis lors, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Unknown a dit…

Ne bouge pas, s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta-t-il avant de sortir en courant, à la recherche de ses confrères. Vous n'allez pas me croire : brève, concise et chaleureuse, sans perdre la petite touche humaine, leur raconta-t-il. Il l'imita, puis un sourire … Cette nuit là, tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les larmes, maman fut embauchée. Depuis lors, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Tradabordo a dit…

Ne bouge pas, s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta-t-il avant de sortir en courant, à la recherche de ses confrères. Vous n'allez pas me croire : brève, concise et chaleureuse, sans perdre [« oublier » ?] la petite touche humaine, leur raconta-t-il. Il l'imita, puis un sourire… Cette nuit là [orthographe], tandis que Toya et sa sœur se séchaient mutuellement les [ici, il faut un possessif ; voyez aussi la syntaxe] larmes, maman fut embauchée. Depuis lors [nécessaire ?], matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Unknown a dit…

Ne bouge pas, s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta-t-il avant de sortir en courant, à la recherche de ses confrères. Vous n'allez pas me croire : brève, concise et chaleureuse, sans oublier la petite touche humaine, leur raconta-t-il. Il l'imita, puis un sourire… Cette nuit-là, tandis que Toya et sa sœur séchaient leurs larmes mutuellement, maman fut embauchée. Depuis, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

Tradabordo a dit…

Ne bouge pas, s'exclama le médecin. Reste ici, ajouta-t-il avant de sortir en courant, à la recherche de ses confrères. Vous n'allez pas me croire : brève, concise et chaleureuse, sans oublier la petite touche humaine, leur raconta-t-il. Il l'imita, puis un sourire… Cette nuit-là, tandis que Toya et sa sœur séchaient leurs larmes mutuellement, maman fut embauchée. Depuis, matins et soirs, soirs et matins, nuits et jours, accompagnée du médecin de garde et également vêtue de blanc, elle annonce la nouvelle.

OK.