samedi 9 août 2014

Projet Sabrina 3 – phrases 45-46

En aquella habitación se respiraba un ambiente de refinada exquisitez, ausente por completo en la tienda revuelta, lóbrega y húmeda donde habían transcurrido mis primeros días. Todo allí era envolvente y acariciador, las alfombras, los gobelinos, la calidez del fuego en la chimenea y, sin embargo, yo extrañaba mi primera estancia, tan pletórica de vida, con su simpleza y su casi grosera sinceridad, porque, después de todo, el único engaño que había en ella era la ingenua astucia del dueño, absolutamente inofensiva, ya que más o menos todos los clientes sabían que serían timados y entraban dispuestos a formar parte del embrollo disfrutando del encanto de la pantomima y el juego del comerciante.

Traduction temporaire :
Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, sa simplicité et sa sincérité presque grossière. En effet, la seule tromperie n'était finalement que la ruse naïve du propriétaire. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés, mais entraient quand même, prêts à participer à la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

10 commentaires:

Sabrina a dit…

Dans cette pièce, on respirait une ambiance de délice raffiné qu'il n'y avait absolument pas dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré tout, je regrettais mon premier séjour, si débordant de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière sincérité, parce que, finalement, seule la naïve astuce du propriétaire était une tromperie, totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés et entraient prêts à faire partie de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Tradabordo a dit…

Dans cette pièce, on respirait une ambiance [naturel ? J'hésite ; vois si tu n'aurais pas une meilleure solution avec « atmosphère »] de délice raffiné [pas exactement ce que dit la V.O.] qu'il n'y avait absolument pas dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré tout [dommage de te coller un « tout » ici alors qu'on a tant de mal à les éliminer ailleurs], je regrettais mon premier séjour [pas plutôt dans le sens du lieu…], si débordant de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière sincérité, parce que, finalement, seule la naïve astuce [bof] du propriétaire était une tromperie, totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés et entraient prêts [mal construit] à faire partie de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant [globalement, ça manque de naturel… Vois si tu peux fluidifier tout cela, notamment en mettant davantage de ponctuation].

Sabrina a dit…

Dans cette pièce, se dégageait une atmosphère de délicatesse raffinée qu'il n'y avait absolument pas dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière sincérité. En effet, seule la simple ruse du propriétaire était finalement une tromperie. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés mais ils entraient, prêts à faire partie de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Tradabordo a dit…

Dans cette pièce, se dégageait [ou simplement : « il y avait » ? Je ne trouve pas que « dégager » soit très adapté ici… Le cas échéant, mets « absente » pour la suite… Essaie et dis-moi ce que tu préfères] une atmosphère de délicatesse raffinée qu'il n'y avait absolument pas dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière sincérité. En effet, seule la simple ruse du propriétaire était finalement une tromperie. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés mais ils entraient, prêts à faire partie de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Sabrina a dit…

Ah oui, c'est bien mieux comme ça! Merci :).

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière sincérité. En effet, seule la simple ruse du propriétaire était finalement une tromperie. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés mais ils entraient, prêts à faire partie de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Tradabordo a dit…

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, avec sa simplicité et sa quasi grossière [les deux sont mal dit ; peu naturel en français] sincérité. En effet, seule la simple [je pense qu'en le formulant comme ça, tu ne dis pas vraiment le même sens…] ruse du propriétaire était finalement une tromperie [manque de naturel de l'ensemble de la phrase]. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés [virgule] mais ils entraient [« entraient quand même »…], prêts à faire partie [bof] de la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Sabrina a dit…

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, sa simplicité et sa sincérité presque grossière. En effet, la seule tromperie n'était finalement que la ruse naïve du propriétaire. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés, mais ils entraient quand même, prêts à participer à la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Tradabordo a dit…

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, sa simplicité et sa sincérité presque grossière. En effet, la seule tromperie n'était finalement que la ruse naïve du propriétaire. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés, mais ils [nécessaire ?] entraient quand même, prêts à participer à la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Sabrina a dit…

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, sa simplicité et sa sincérité presque grossière. En effet, la seule tromperie n'était finalement que la ruse naïve du propriétaire. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés, mais entraient quand même, prêts à participer à la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

Tradabordo a dit…

Dans cette pièce, il y avait une atmosphère de délicatesse raffinée, entièrement absente dans la boutique désordonnée, lugubre et humide où j'avais passé mes premiers jours. Là, tout était enveloppant et caressant : les tapis, les tapisseries, la chaleur du feu dans la cheminée. Et malgré cela, je regrettais ma première résidence, si débordante de vie, sa simplicité et sa sincérité presque grossière. En effet, la seule tromperie n'était finalement que la ruse naïve du propriétaire. Elle était totalement inoffensive, puisque plus ou moins tous les clients savaient qu'ils seraient abusés, mais entraient quand même, prêts à participer à la supercherie en profitant du charme de la pantomime et du jeu du commerçant.

OK.