lundi 15 septembre 2014

Projet Florian 4 – phrases 4-5

Me identifiqué con el hombre maduro del que estaba enamorada dejando el papel de amante descorazonado para el escritor que, al fin y al cabo, estaba muerto. La sola idea de que me podía seguir queriendo me obsesionaba tanto que no había descansado hasta saber su paradero.

Traduction temporaire :
Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'eus de cesse de connaître son adresse.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, en fin de compte, était mort. La seule idée selon laquelle elle pouvait continuer de m'aimer m'obsédait de sorte que je ne m'étais pas reposé avant d'avoir acquis son adresse.

Tradabordo a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, en fin de compte [ou dans le sens « après tout » – sous entendu : peu importe puisqu'il est mort ?], était mort. La seule idée selon laquelle [très gros manque de naturel ; ici, vous devez vous dégager de la trad littérale] elle pouvait continuer de m'aimer m'obsédait de sorte [vous ne rendez pas l'idée de la V.O. avec « de sorte » ; ici, c'est l'importance / la quantité] que je ne m'étais pas reposé [il faut le comprendre davantage au sens figuré] avant d'avoir acquis [mal dit ; il y a un verbe mieux ici] son adresse.

Unknown a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'avais pas trouvé le sommeil avant d'avoir connu son adresse.

Tradabordo a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'avais pas trouvé le sommeil [passez par « avoir de cesse »] avant d'avoir connu son adresse.

Unknown a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'avais de cesse de connaître son adresse.

Tradabordo a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'avais de cesse [du coup, il vaut mieux le mettre au passé simple] de connaître son adresse.

Unknown a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'eus de cesse de connaître son adresse.

Tradabordo a dit…

Je m'identifiai à l'homme d'âge mûr dont elle était amoureuse, laissant le rôle de l'amant éconduit à l'écrivain qui, après tout, était mort. Le seul fait de penser qu'elle pouvait encore m'aimer m'obsédait tellement que je n'eus de cesse de connaître son adresse.

OK.