mercredi 24 septembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 126-129

Días después, cuando por fin abandonaron el hospital, el anciano fue el primero en dirigirse a comprar un periódico en busca de información. A algún lugar tendrían que haber llevado a su hijo. Cuando Aliaksei buscó noticias en el periódico el día después de llegar a Pripyat, ni un sólo diario daba información al respecto. En la biblioteca, todos los libros acerca de la energía nuclear o de la radiación habían sido removidos, manojos de páginas arrancados y en su lugar, estantes huecos sin nada que decir.

Traduction temporaire :
Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne laissait absolument rien filtrer sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides, sans plus rien à proposer.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le jour après être arrivé à Pripyat, pas un seul périodique ne communiquait sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été saccagés, leurs pages arrachées par paquets, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à dire.

Tradabordo a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à [« aller » ?] acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le jour après [« le lendemain », tu veux dire ? ;-)] être arrivé à Pripyat, pas un seul périodique [ça se voit que tu contournes « journaux » ; mieux vaut encore passer par « presse »] ne communiquait sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été saccagés [on le dirait pour des livres ? + « sûre » ?], leurs pages arrachées par paquets, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à dire [????].

Hélène a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne communiquait absolument rien sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par paquets, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à proposer.

Tradabordo a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin [virgule] ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne communiquait absolument rien sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous [cf le dico… ?], leurs pages arrachées par paquets [ou « par poignées » ? Comme tu veux…], et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à proposer.

Hélène a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne communiquait absolument rien sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous [cf le dico… ? // Remover : mover cosas que están juntas (Moliner). Larousse traduit par "remuer" / "retourner". On pourrait traduire par "avaient été déplacés", mais je pense que ça va plus loin que ça, notamment à cause de ce qui suit], leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à proposer.

Tradabordo a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne communiquait absolument rien [« ne laissait absolument rien filtrer » ?] sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous [cf le dico… ? // Remover : mover cosas que están juntas (Moliner). Larousse traduit par "remuer" / "retourner". On pourrait traduire par "avaient été déplacés", mais je pense que ça va plus loin que ça, notamment à cause de ce qui suit], leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à proposer. OK

Hélène a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne laissait absolument rien filtrer sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides sans rien à proposer.

Tradabordo a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne laissait absolument rien filtrer sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides [virgule] sans [cheville : « plus » ?] rien à proposer.

Hélène a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne laissait absolument rien filtrer sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides, sans plus rien à proposer.

Tradabordo a dit…

Quelques jours plus tard, lorsqu'enfin, ils sortirent de l’hôpital, le vieil homme fut le premier à aller acheter un journal, à la recherche d’informations. Son fils devait bien avoir été emmené quelque part. Quand Aliaksei s’était mis en quête de nouvelles, le lendemain de son arrivée à Pripyat, la presse ne laissait absolument rien filtrer sur le sujet. À la bibliothèque, tous les livres traitant de l’énergie nucléaire ou des radiations avaient été mis sens dessus dessous, leurs pages arrachées par poignées, et à la place, on trouvait des étagères vides, sans plus rien à proposer.

OK.