lundi 29 septembre 2014

Projet Manon 3 – phrases 118-122


Pues era cierto señor García. Totalmente cierto. ¿Acaso usted comprende a plenitud Cien años de soledad? ¿No es verdad que usted la experimentó siempre —como le ocurre a todo escritor con una de las así denominadas "obras maestras" — como un misterio que brotaba de sus manos? ¿No es verdad que usted sintió siempre como si el texto viniera siendo dictado desde otra parte y usted fuera sólo su amanuense? ¿No es verdad que usted siempre se percibió a sí mismo como un "amanuense del misterio"?

Traduction temporaire :

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – à l'instar de tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte vous était dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

14 commentaires:

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Par curiosité [on a déjà pas mal de « par hasard »], comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – comme cela arrive à tout écrivain auteur de celles que l'on appelle « œuvres maîtresses » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme s'il était dicté d'ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. [« Totalmente cierto » ?] Par curiosité [on a déjà pas mal de « par hasard »], [supprime tout ça… C'est purement rhétorique ce « acaso »] comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez [« ayez » ?] toujours senti – comme cela arrive à tout écrivain auteur de celles [hispanisme…// mal dit reprendre] que l'on appelle « œuvres maîtresses » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ?

N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme s'il était dicté d'ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur des « œuvres maîtresses » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme s'il était dicté d'ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel à tout auteur des [de ] « œuvres maîtresses » [mal dit] – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme s'il était [nécessaire ?] dicté d'ailleurs [texte] et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme dicté d'ailleurs [texte / ?] et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez eu la sensation que le texte vous parvenait comme dicté d'ailleurs [texte / ? Je veux dire que tu t'éloignes pas mal de la V.O. et je me demande si c'est nécessaire] et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte venait en étant dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte venait en étant [nécessaire ?] dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte venait dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte venait [« vous était » ?] dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte vous était dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – tel que cela arrive à tout [« à l'instar de tout » ?] auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte vous était dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Unknown a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – à l'instar de tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte vous était dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

Tradabordo a dit…

— Eh bien c'était vrai, Monsieur García. Totalement vrai. Comprenez-vous pleinement Cent ans de solitude ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours senti – à l'instar de tout auteur de « chefs d'œuvre » – comme un mystère qui jaillissait de vos mains ? N'est-il pas vrai que vous avez toujours eu la sensation que le texte vous était dicté depuis ailleurs et que vous en étiez seulement le copiste ? N'est-il pas vrai que vous vous êtes toujours considéré comme le « copiste du mystère » ?

OK.