mercredi 24 septembre 2014

Projet Nadia – phrases 76

Desgraciadamente, es corto espacio éste para exponer anchamente un tema, que es idea fija y lancinante desde que saliera yo al exilio, dos años después del asesinato del Presidente Allende y de la muerte, con carácter de asesinato, de Pablo Neruda. Es la idea que consta en el título de estas leves reflexiones.

Traduction temporaire :
Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour amplement exposer un sujet, une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace ici pour exposer largement un sujet, c’est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, au caractère d’assassinat, de Pablo Neruda. C’est l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Tradabordo a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace ici [nécessaire ?] pour exposer largement [« amplement » ?] un sujet, c’est [bof] une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, au caractère [très mal dit] d’assassinat, de Pablo Neruda. C’est [encore !] l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Unknown a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour exposer amplement un sujet, qui est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Tradabordo a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour exposer amplement [avance-le] un sujet, qui est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Unknown a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour exposer un sujet amplement, qui est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Tradabordo a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour exposer un sujet amplement [avance-le ; cf mon commentaire précédent], qui est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Unknown a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour amplement exposer un sujet, qui est une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Tradabordo a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour amplement exposer un sujet, qui est [nécessaire ?] une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Unknown a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour amplement exposer un sujet, une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

Tradabordo a dit…

Malheureusement, il s’agit d’un court espace pour amplement exposer un sujet, une idée fixe et lancinante depuis que je suis parti en exil, deux ans après l’assassinat du Président Allende et de la mort, aux airs d’assassinat, de Pablo Neruda. Voilà l’idée qui apparait dans le titre de ces simples réflexions.

OK.