vendredi 14 novembre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 229-248

Con pasos lentos y sin retirar la mano de su pecho, la señora Ema giró alrededor del acoplado. Las respiraciones acompasadas del tigre y la tigresa dormidos llenaban el galpón. Los zapatos con suela de goma de la señora Ema no hicieron ningún ruido al caminar sobre el polvo del piso. Duilio carraspeó y escupió hacia afuera.
¡Shhh!, exclamó la señora Ema. ¡Los va a despertar!
¿A quién? ¿A éstos? Éstos hasta mañana no se enteran de nada, dijo Duilio y metió un brazo por entre los barrotes, subió los belfos del tigre y lo tomó por uno de sus colmillos.
Le va a arrancar la mano, pensó la señora Ema. Ahora el tigre se va a despertar, va pegarle un zarpazo y le va a arrancar la mano. Duilio hizo como si quisiera aflojar el colmillo. La cabeza del tigre se movió sin oponer resistencia.
Déjelo, no sea molesto, dijo la señora Ema.
¿Quiere tocarlos?, preguntó Duilio.
Me da miedo. Con verlos así de cerca a mí ya me alcanza.
Venga, tóquelos, dijo Duilio.
¿Se puede?
Sí, claro.

Traduction temporaire :

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle foula la poussière sur le sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller !
Qui donc ? Eux ? Ils ne s'apercevront de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et toucher un des crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir faire bouger le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir d'aussi près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

6 commentaires:

Emilie a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle marcha sur la poussière du sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller!
Qui donc ? Eux ? Eux, ils ne se rendront compte de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et l’attraper par un de ses crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Maintenant, le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir extraire le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir de si près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

Tradabordo a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle marcha sur [« foula » ?] la poussière du sol [nécessaire ? ou « sur le sol » ?]. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller[espace]!
Qui donc ? Eux ? Eux [nécessaire ?], ils ne se rendront compte de rien [naturel ?] jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et l’attraper par un de ses crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Maintenant [nécessaire ?], le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main [un moyen de ne pas répéter ? Si ça doit être artificiel, laisse tomber…]. Duilio fit mine de vouloir extraire [naturel ?] le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir de [« d'aussi » ?] si près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

Emilie a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle foula la poussière sur le sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller !
Qui donc ? Eux ? Ils ne s'apercevront de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et l’attraper par un de ses crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir enlever le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir d'aussi près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

Tradabordo a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle foula la poussière sur le sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller !
Qui donc ? Eux ? Ils ne s'apercevront de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et l’attraper par [bizarre… « toucher » ?] un de ses [le possessif est-il nécessaire ?] crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir enlever [naturel ?] le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir d'aussi près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

Emilie a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle foula la poussière sur le sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller !
Qui donc ? Eux ? Ils ne s'apercevront de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et toucher un des crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir faire bouger le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir d'aussi près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

Tradabordo a dit…

À pas lents et sans ôter la main de sa poitrine, madame Ema contourna la remorque. Les respirations régulières du tigre et de la tigresse endormis emplissaient la remise. Les chaussures à semelle en caoutchouc de madame Ema ne firent aucun bruit lorsqu’elle foula la poussière sur le sol. Duilio se racla la gorge puis cracha vers l’extérieur.
Chuuuut ! s’exclama madame Ema. Vous allez les réveiller !
Qui donc ? Eux ? Ils ne s'apercevront de rien jusqu’à demain, déclara Duilio avant de passer un bras entre les barreaux pour soulever les babines du tigre et toucher un des crocs.
Il va lui arracher la main, pensa madame Ema. Le tigre va se réveiller, lui mettre un coup de griffe et lui arracher la main. Duilio fit mine de vouloir faire bouger le croc. La tête du tigre remua sans opposer la moindre résistance.
Laissez-le, arrêtez de l’embêter, ordonna madame Ema.
Voulez-vous les toucher ? demanda Duilio.
Ça me fait peur. Les voir d'aussi près me suffit.
Allons, touchez-les, insista Duilio.
Je peux ?
Oui, bien sûr.

OK.