mardi 18 novembre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 249-259

Duillo controló las vendas en la pata de la tigresa y se aseguró de que en las jaulas hubiera agua para cuando los animales despertaran.
¿Suficiente?, preguntó. Ya es la hora, tenemos que irnos.
Sí, sí, suficiente, dijo la señora Ema y sacó su brazo de entre los barrotes, separándose del tigre. Sí, sí, suficiente, dijo mientras se volvía y le daba la espalda a los dos animales dormidos.
Detrás de ella, Duilio apagó la luz. En la oscuridad la señora Ema creyó percibir un aliento espeso alrededor de su cuello. Pensó en el tigre, saltando sobre ella. Se volvió y sólo encontró la cara de Duilio, que dijo:
Ya vio a los tigres, son cincuenta pesos, veinticinco por cada uno.
La señora Ema buscó en su cartera y le pagó.

Traduction temporaire :

Duilio jeta un coup d'œil aux bandes sur la patte de la tigresse et s’assura qu’il y avait de l’eau dans les cages pour quand les animaux se réveilleraient.
Ça vous va ? demanda-t-il. C’est l’heure, il faut qu’on y aille.
Oui, oui, ça me va, affirma-t-elle, avant de sortir son bras d’entre les barreaux. Ça me va, oui, oui, répéta-t-elle en se détournant des deux bêtes endormies.
Derrière elle, Duilio éteignit la lumière. Dans l’obscurité, madame Ema crut percevoir un souffle rauque près de son cou. Elle pensa au tigre lui sautant à la gorge. Elle fit volte-face et se retrouva nez à nez avec Duilio, qui lui lança :
Vous avez vu les tigres, c’est cinquante pesos, vingt-cinq pour chaque.
Madame Ema fouilla dans son portefeuille et paya.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Duilio vérifia les bandes sur la patte de la tigresse et s’assura qu’il y avait de l’eau dans les cages pour quand les animaux se réveilleraient.
Est-ce que cela vous suffit ? demanda-t-il. C’est l’heure, il faut qu’on y aille.
Oui, oui, c’est suffisant, affirma-t-elle, avant de sortir son bras d’entre les barreaux. Suffisant, oui, oui, répéta-t-elle en pivotant jusqu’à tourner le dos aux deux bêtes endormies.
Derrière elle, Duilio éteignit la lumière. Dans l’obscurité, madame Ema crut percevoir un souffle rauque près de son cou. Elle pensa au tigre se jetant sur elle. Elle se retourna et se retrouva nez à nez avec Duilio, qui lui lança :
Vous avez vu les tigres, c’est cinquante pesos, vingt-cinq pour chaque.
Madame Ema fouilla dans son portefeuille et paya.

Tradabordo a dit…

Duilio vérifia [pour éviter une forme de répétition avec le verbe d'après, « jeter un coup d'œil » ? Comme tu veux…] les bandes sur la patte de la tigresse et s’assura qu’il y avait de l’eau dans les cages pour quand les animaux se réveilleraient.
Est-ce que cela vous suffit [naturel et clair ?] ? demanda-t-il. C’est l’heure, il faut qu’on y aille.
Oui, oui, c’est suffisant [bof], affirma-t-elle, avant de sortir son bras d’entre les barreaux. Suffisant, oui, oui, répéta-t-elle en pivotant jusqu’à tourner [bof] le dos aux deux bêtes endormies.
Derrière elle, Duilio éteignit la lumière. Dans l’obscurité, madame Ema crut percevoir un souffle rauque près de son cou. Elle pensa au tigre se jetant [bof] sur elle. Elle se retourna et se retrouva nez à nez avec Duilio, qui lui lança :
Vous avez vu les tigres, c’est cinquante pesos, vingt-cinq pour chaque.
Madame Ema fouilla dans son portefeuille et paya.

Emilie a dit…

Duilio jeta un coup d'œil aux bandes sur la patte de la tigresse et s’assura qu’il y avait de l’eau dans les cages pour quand les animaux se réveilleraient.
Ça vous va ? demanda-t-il. C’est l’heure, il faut qu’on y aille.
Oui, oui, ça me va, affirma-t-elle, avant de sortir son bras d’entre les barreaux. Ça me va, oui, oui, répéta-t-elle en se détournant des deux bêtes endormies.
Derrière elle, Duilio éteignit la lumière. Dans l’obscurité, madame Ema crut percevoir un souffle rauque près de son cou. Elle pensa au tigre lui sautant à la gorge. Elle fit volte-face et se retrouva nez à nez avec Duilio, qui lui lança :
Vous avez vu les tigres, c’est cinquante pesos, vingt-cinq pour chaque.
Madame Ema fouilla dans son portefeuille et paya.

Tradabordo a dit…

Duilio jeta un coup d'œil aux bandes sur la patte de la tigresse et s’assura qu’il y avait de l’eau dans les cages pour quand les animaux se réveilleraient.
Ça vous va ? demanda-t-il. C’est l’heure, il faut qu’on y aille.
Oui, oui, ça me va, affirma-t-elle, avant de sortir son bras d’entre les barreaux. Ça me va, oui, oui, répéta-t-elle en se détournant des deux bêtes endormies.
Derrière elle, Duilio éteignit la lumière. Dans l’obscurité, madame Ema crut percevoir un souffle rauque près de son cou. Elle pensa au tigre lui sautant à la gorge. Elle fit volte-face et se retrouva nez à nez avec Duilio, qui lui lança :
Vous avez vu les tigres, c’est cinquante pesos, vingt-cinq pour chaque.
Madame Ema fouilla dans son portefeuille et paya.

OK.