vendredi 21 novembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 157-158

Por lo demás, lo que Guilherme nunca sabrá es que su madre pudo gozar muy poco del vigor industrial con que Luizinho sustituyó su aflicción por una inusual tenacidad que lo llevó a convertirse en el hombre más adinerado del pueblo. Guilherme lo recuerda alto y elegante, con ese aire de prosperidad prematura, despidiéndose durante una excursión a los pantanos, o el día de la primera clase en la escuela, o en la visita al dentista o la primera vez que lo llevó a conocer la isla.

Traduction temporaire :
En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, et grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme quelqu'un de grand et d'élégant, affichant un air de prospérité prématurée, alors qu'il prenait congé après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

9 commentaires:

Hélène a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère profita très peu du sursaut industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une inusuelle ténacité grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme grand et élégant, cet air de prospérité prématurée imprimé sur son visage, au moment où il disait au revoir après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’accompagna à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore lorsqu’il l’emmena voir l’île pour la première fois.

Tradabordo a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère profita très peu [« ne profita qu'à peine » ?] du sursaut [vérifie qu'on dit comme ça…] industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une inusuelle [naturelle ici ?] ténacité grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme grand et élégant, cet [?] air de prospérité prématurée imprimé sur son visage, au moment où il disait au revoir après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’accompagna à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore lorsqu’il l’emmena voir l’île pour la première fois [la fin me semble à peu lourde ; vois si tu peux mettre de la fluidité // peut-être en travaillant davantage sur la ponctuation, je ne sais pas…].

Hélène a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom ["sursaut industriel" existe, mais est moins courant que "boom"] industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inhabituelle grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme grand et élégant, un air de prospérité prématurée imprimé sur son visage, au moment où il disait au revoir après une excursion dans les marais, ou bien, lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Tradabordo a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inhabituelle [« inédite chez lui » ou quelque chose comme ça ?] grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme grand et élégant, [est-ce que ça ne marcherait pas avec « affichant » ? Essaie et vois ce que ça donne] un air de prospérité prématurée imprimé sur son [« le »] visage, au moment où [« alors qu'il » ?] il disait au revoir après une excursion dans les marais, ou bien, lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Hélène a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme grand et élégant, affichant un air de prospérité prématurée sur le visage, alors qu'il disait au revoir après une excursion dans les marais, ou bien, lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Tradabordo a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, [« et » ?] grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme d’un homme [tu l'as déjà dans la phrase d'avant ; un moyen de contourner ?] grand et élégant, affichant un air de prospérité prématurée sur le visage [nécessaire ?], alors qu'il disait au revoir [« prenait congé » ?] après une excursion dans les marais, ou bien, [supprime la virgule] lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Hélène a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, et grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme de quelqu'un de grand et d'élégant, affichant un air de prospérité prématurée, alors qu'il prenait congé après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Hélène a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, et grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme quelqu'un de grand et d'élégant, affichant un air de prospérité prématurée, alors qu'il prenait congé après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

Il y avait une préposition "de" en trop dans ma précédente proposition.

Tradabordo a dit…

En outre, ce que Guilherme ne saura jamais, c’est que sa mère ne profita qu'à peine du boom industriel qui permit à Luizinho de troquer son affliction contre une ténacité inédite chez lui, et grâce à laquelle il devint l’homme le plus riche du village. Guilherme s’en souvient comme quelqu'un de grand et d'élégant, affichant un air de prospérité prématurée, alors qu'il prenait congé après une excursion dans les marais, ou bien lorsqu’il l’emmena à son premier jour d’école, à la visite chez le dentiste, ou encore à la découverte de l’île.

OK.