lundi 17 novembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 200-205

 14

“¿Qué busca aquí?”, preguntó la vieja. “A mi hijo. ¿Y tú quién eres?” La vieja sintió frío y cubrió lo poco de su cuerpo con un pedazo de tela con lo parecía haber sido una blusa. “Yo solía vivir en una de estas cabañas con mis dos hermanas. Pero esa no es la pregunta que quisiera hacerme, ¿no?” Aliaksei la miró confundido.

Traduction temporaire :

14

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la femme se couvrit avec les lambeaux de ce qui semblait avoir été un chemisier. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

8 commentaires:

Hélène a dit…

14
« Qu’est-ce que vous chercher ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant la fraîcheur, la vieille dame couvrit son petit corps d’un morceau de tissu, autrefois un chemisier vraisemblablement. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda confus.

Tradabordo a dit…

14

« Qu’est-ce que vous chercher [virgule ?] ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant la fraîcheur [est-ce que tu ne changes pas ?], la vieille dame couvrit son petit corps d’un morceau de tissu, autrefois un chemisier vraisemblablement [après la virgule, pas très naturel]. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda [virgule] confus [j'hésite sur l'interprétation ; jette un œil à l'unilingue].

Hélène a dit…

4

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la vieille dame se couvrit avec un morceau de tissu, qui semblait avoir été un chemisier autrefois. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

Tradabordo a dit…

4

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la vieille dame [« femme », pour éviter de répéter ?] se couvrit avec un morceau de tissu, qui semblait avoir été un chemisier autrefois [je ne trouve pas la fin très fluide… Vois si tu as une autre solution ; sinon tant pis…]. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

Hélène a dit…

4

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la vieille femme se couvrit avec les lambeaux de ce qui semblait avoir été un chemisier. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

Tradabordo a dit…

4

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la vieille [nécessaire ?] femme se couvrit avec les lambeaux de ce qui semblait avoir été un chemisier. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

Hélène a dit…

14

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la femme se couvrit avec les lambeaux de ce qui semblait avoir été un chemisier. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

Tradabordo a dit…

14

« Qu’est-ce que vous chercher, ici ? » demanda la vieille dame. « Mon fils. Et vous, qui êtes vous ? » Sentant le froid parcourir son petit corps, la femme se couvrit avec les lambeaux de ce qui semblait avoir été un chemisier. « Je vivais dans une de ces cabanes avec mes deux sœurs. Mais, ce n’est pas la question que vous vouliez me poser, n’est-ce-pas ? Aliaksei la regarda, déconcerté.

OK.