jeudi 27 novembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 226-232

Aliaksei se alejó y comenzó a correr lo más que pudo hasta dejar atrás a la vieja. Entonces, oculto por las ramas, divisó en el horizonte un edificio oscurecido por las últimas luces del día.

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EL PARTIDO DE LENIN NOS GUIARA AL TRIUNFO DEL COMUNISMO le dio la bienvenida a Pripyat. Siguió caminando por la avenida hasta llegar al viejo colegio de su hija, de su nieta. Las puertas abiertas lo recibieron sin anunciar de su presencia a nadie. Se acercó con cuidado pues la vegetación había empezado a crecer alrededor de las ventanas, por los techos, habían roto el piso y trepado por las paredes.

Traduction temporaire :

Aliaksei s'écarta et se mit à courir aussi longtemps qu’il le put, jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut à l'horizon, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME ; la manière de Pripyat de lui souhaiter la bienvenue. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue, jusqu’à l’ancienne école de sa fille, puis de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha avec précaution car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Aliaksei se retira et se mit à courir aussi vite qu’il le put jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut au loin, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.
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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME lui souhaita la bienvenue à Pripyat. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue jusqu’à atteindre l’ancien collège de sa fille, mais aussi de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha pas à pas car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

Tradabordo a dit…

Aliaksei se retira [« s'écarta » ?] et se mit à courir aussi vite [question de vitesse ou de durée ?] qu’il le put [virgule ?] jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut au loin [pourquoi tu changes ?], caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME lui souhaita la bienvenue à Pripyat [ou : « ; la manière de ………… » ?]. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue [virgule] jusqu’à atteindre [nécessaire ?] l’ancien collège [ou « école » ?] de sa fille, mais [nécessaire ?] aussi de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha pas à pas [ce que dit la V.O. ?] car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

Hélène a dit…

Aliaksei s'écarta et se mit à courir aussi longtemps qu’il le put, jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut à l'horizon, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME ; la manière de lui souhaiter la [" : en guise de" ?] bienvenue à Pripyat. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue, jusqu’à l’ancienne école de sa fille, puis de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha avec précaution car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

Tradabordo a dit…

Aliaksei s'écarta et se mit à courir aussi longtemps qu’il le put, jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut à l'horizon, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME ; la manière de lui souhaiter la [" : en guise de" ? // « la manière de P de lui souhaiter la bienvenue » me semble plus naturel] bienvenue à Pripyat. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue, jusqu’à l’ancienne école de sa fille, puis de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha avec précaution car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

Hélène a dit…

Aliaksei s'écarta et se mit à courir aussi longtemps qu’il le put, jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut à l'horizon, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME ; la manière de Pripyat de lui souhaiter la bienvenue. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue, jusqu’à l’ancienne école de sa fille, puis de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha avec précaution car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

Tradabordo a dit…

Aliaksei s'écarta et se mit à courir aussi longtemps qu’il le put, jusqu’à ce que la vieille femme soit hors de sa vue. À ce moment-là, il aperçut à l'horizon, caché par les branches, un bâtiment assombri par les dernières lueurs du jour.

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LE PARTI DE LÉNINE NOUS CONDUIRA AU TRIOMPHE DU COMMUNISME ; la manière de Pripyat de lui souhaiter la bienvenue. Il poursuivit son chemin le long de l’avenue, jusqu’à l’ancienne école de sa fille, puis de sa petite-fille. Les portes grandes ouvertes l’accueillirent sans annoncer sa présence à personne. Il s’approcha avec précaution car la végétation avait commencé à pousser autour des fenêtres, sur le toit, éventrant le plancher et grimpant sur les murs.

OK.