mercredi 12 novembre 2014

Projet Justine 3 – phrases 49-53

Sentí rencor por la desconsideración de Camila, y por lo sencillo que le parecía todo. Ella había nacido en una casa donde siempre hubo dinero. Pensé que no tenía la menor idea de lo que para mí significaba el esfuerzo que estaba realizando. Le eché en cara su superficialidad, su desatino, su descuido. Toda la culpa se la atribuí sólo a ella y le dije que no podíamos tener ese hijo.

Traduction temporaire :
J’avais éprouvé de la rancœur vis-à-vis du manque de considération de Camila et du fait que tout lui paraissait simple. Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'avais imaginé qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de fournir. Je lui avais balancé ses quatre vérités : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

6 commentaires:

Justine a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur à cause de la déconsidération de Camila et du fait que tout lui paraissait simple.
Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'imaginais qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de faire. Je lui avais balancé ses quatre vérités au visage : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

Tradabordo a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur à cause de [bof] la déconsidération [?] de Camila et du fait que tout lui paraissait simple.
Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'imaginais [temps ?] qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de faire [il y a mieux que « faire » ici]. Je lui avais balancé ses quatre vérités au visage [ajout nécessaire ?] : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

Justine a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur car Camila me dévalorisait et considérait que tout semblait simple. Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'avais imaginé qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de fournir. Je lui avais balancé ses quatre vérités : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

Tradabordo a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur car Camila me dévalorisait [« manque de considération » + pas « car », du coup…] et considérait que tout semblait simple. Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'avais imaginé qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de fournir. Je lui avais balancé ses quatre vérités : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

Justine a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur vis-à-vis du manque de considération de Camila et du fait que tout lui paraissait simple. Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'avais imaginé qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de fournir. Je lui avais balancé ses quatre vérités : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

Tradabordo a dit…

J’avais éprouvé de la rancœur vis-à-vis du manque de considération de Camila et du fait que tout lui paraissait simple. Elle était née dans une maison où l’argent n’avait jamais manqué. J'avais imaginé qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce que représentait pour moi l’effort que j’étais en train de fournir. Je lui avais balancé ses quatre vérités : sa superficialité, sa bêtise, son inattention. J’avais rejeté toute la faute sur elle, avant de lui asséner qu’on ne pouvait pas avoir cet enfant.

OK.