jeudi 11 décembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 163-167

El coche. La vegetación. El cerco de ladrillos claros. Una mujer negra que cocinaba con habilidad lo que cada fin de semana celebraban los amigos de su padre: hombres elegantes y altos como él, a oscuras sus risas, que nunca se aplacaban mientras dormía. Luizinho nunca se volvió a casar. Cuando se lo preguntó, años más tarde, dijo que no había encontrado a nadie que le hiciera olvidar a su madre; que a veces morirse es mucho mejor que no morirse del todo.

Traduction temporaire :
La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels les amis de son père faisaient honneur : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans l'obscurité. Si eux, ne s’arrêtaient pas, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de remplacer sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.  

8 commentaires:

Hélène a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait avec finesse des plats auxquels faisaient honneur, chaque week-end, les amis de son père : des hommes élégants et grands, comme lui, aux rires estompés, qui ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne qui puisse lui faire oublier sa mère, ajoutant que parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Tradabordo a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait avec finesse [ou dans le sens de « dextérité » ? J'hésite…] des plats auxquels faisaient honneur, chaque week-end [place-le ailleurs… pour éviter cette coupure brutale], les amis de son père : des hommes élégants et grands, comme lui [« comme » ou l'équivalence ?], aux rires estompés [?], qui ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne qui puisse lui faire [« susceptible de… »] oublier sa mère, ajoutant que [virgule] parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Hélène a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels faisaient honneur les amis de son père : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans le noir, qui ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de lui faire oublier sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Tradabordo a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels faisaient honneur les amis de son père : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans le noir [« obscurité » ? Tu as « femme noire » juste avant…], qui ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de lui faire [tu as « faisaient » avant…] oublier sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Hélène a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels faisaient honneur les amis de son père : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans l'obscurité, qui ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de remplacer sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Tradabordo a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels faisaient honneur les amis de son père [pas plus naturel en inversant ? Essaie et vois ce qui est mieux] : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans l'obscurité, qui [point + « Si eux, … » ?] ne s’arrêtaient jamais pendant que, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de remplacer sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Hélène a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels les amis de son père faisaient honneur : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans l'obscurité. Si eux, ne s’arrêtaient pas, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de remplacer sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

Tradabordo a dit…

La voiture. La végétation. La murette de briques claires. Une femme noire qui cuisinait chaque week-end avec brio des plats auxquels les amis de son père faisaient honneur : des hommes élégants et grands comme lui, riant dans l'obscurité. Si eux, ne s’arrêtaient pas, lui, dormait. Luizinho ne se remaria jamais. Quand Guilherme lui posa la question, des années plus tard, il répondit qu’il n’avait rencontré personne susceptible de remplacer sa mère, ajoutant que, parfois, il vaut mieux mourir que ne pas mourir du tout.

OK.