lundi 15 décembre 2014

Projet Justine 3 – phrases 132-135


Cuando faltaba un minuto para las once, me decidí. Corrí hacia la ventana y até el pañuelo lo más rápido que pude, sentía un poco de vergüenza, de miedo, de pudor. Sólo cuando terminé, alcé la mirada y entonces, a través del vidrio de la ventana vi a un niño que movía los dedos para saludarme. Un par de manos de mujer lo sujetaban por debajo de las axilas y lo suspendían en el aire.

Traduction temporaire :
Une minute avant vingt-trois heures, j’ai fait un choix : j’ai couru en direction de sa fenêtre et j'y ai accroché le foulard aussi vite que j’ai pu ; j’éprouvais un subtil mélange de honte, de peur et de pudeur. Je n’ai levé les yeux qu’une fois ma mission accomplie ; là, à travers le carreau, j’ai vu un enfant agiter la main pour me dire bonjour. Des mains de femmes le tenaient sous les aisselles et le maintenaient en l’air.

4 commentaires:

Justine a dit…

Une minute avant vingt-trois heures, j’ai fait un choix. J’ai couru en direction de sa fenêtre et j'y ai accroché le foulard aussi vite que j’ai pu ; j’éprouvais un subtil mélange de honte, de peur, de pudeur. Je n’ai levé les yeux qu’une fois ma mission accomplie, et là, à travers le carreau, j’ai vu un enfant agiter la main pour me dire bonjour. Des mains de femmes le tenaient sous les aisselles et le maintenaient en l’air.

Tradabordo a dit…

Une minute avant vingt-trois heures, j’ai fait un choix. [deux points ?] J’ai couru en direction de sa fenêtre et j'y ai accroché le foulard aussi vite que j’ai pu ; j’éprouvais un subtil mélange de honte, de peur, [« et » ?] de pudeur. Je n’ai levé les yeux qu’une fois ma mission accomplie, et [un simple point-virgule ?] là, à travers le carreau, j’ai vu un enfant agiter la main pour me dire bonjour. Des mains de femmes le tenaient sous les aisselles et le maintenaient en l’air.

Justine a dit…

Une minute avant vingt-trois heures, j’ai fait un choix : j’ai couru en direction de sa fenêtre et j'y ai accroché le foulard aussi vite que j’ai pu ; j’éprouvais un subtil mélange de honte, de peur et de pudeur. Je n’ai levé les yeux qu’une fois ma mission accomplie ; là, à travers le carreau, j’ai vu un enfant agiter la main pour me dire bonjour. Des mains de femmes le tenaient sous les aisselles et le maintenaient en l’air.

Tradabordo a dit…

Une minute avant vingt-trois heures, j’ai fait un choix : j’ai couru en direction de sa fenêtre et j'y ai accroché le foulard aussi vite que j’ai pu ; j’éprouvais un subtil mélange de honte, de peur et de pudeur. Je n’ai levé les yeux qu’une fois ma mission accomplie ; là, à travers le carreau, j’ai vu un enfant agiter la main pour me dire bonjour. Des mains de femmes le tenaient sous les aisselles et le maintenaient en l’air.

OK.