jeudi 29 janvier 2015

Projet Aurélie O 4 – phrases 5-7


Pero sólo uno era de verdad: el sioux de color amarillo mostaza, el que empuñaba un tomahawk. Desapareció una noche de verano, aprovechando que la puerta del jardín había quedado entornada. Todos en mi familia se reían cuando les explicaba que aquellas señales diminutas, en la parte inferior de la puerta, eran hachazos.

Traduction temporaire :
Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui brandissait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde se moquait quand j’expliquais que l’ensemble de ces petites marques sur la partie inférieure de la porte étaient des coups de hache.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Mais seulement un était réel: le sioux de couleur jaune moutarde, celui qui braquait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant du fait que la porte du jardin soit restée entrebâillée. Tous, dans ma famille, se moquaient quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Tradabordo a dit…

Rétablissez vos espaces.

Unknown a dit…

Mais seulement un était réel: le sioux de couleur jaune moutarde, celui qui braquait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant du fait que la porte du jardin soit restée entrebâillée. Tous, dans ma famille, se moquaient quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

J'ai vérifié tous les espaces mais il n'y avait rien d'anormal.

Unknown a dit…

Mais seulement un était réel : le sioux de couleur jaune moutarde, celui qui braquait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant du fait que la porte du jardin soit restée entrebâillée. Tous, dans ma famille, se moquaient quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Tradabordo a dit…

Si, si, il manquait l'espace avant les deux points – que vous avez maintenant rétabli ;-)

Mais seulement [mal dit] un était réel : le sioux de couleur [nécessaire ? J'hésite] jaune moutarde, celui qui braquait [mal dit ici] un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant du fait que [tout cela est-il est-il nécessaire ? Je pense que vous pouvez faire sans en changeant un peu la syntaxe] la porte du jardin soit restée entrebâillée. Tous, dans ma famille [ou : « Dans ma famille, tout le monde… » ? Essayez les deux et voyez ce qui est mieux…], se moquaient quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Unknown a dit…

Mais seul un était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui pointait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin soit restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde, se moquaient quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Tradabordo a dit…

Mais seul un [ou : « un seul » ?] était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui pointait [« tenait » ?] un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin soit [grammaire] restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde, se moquaient [relisez-vous quand vous changez quelque chose…] quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Unknown a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui tenait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde, se moquait quand je leur expliquais que ces toutes petites marques, sur la partie inférieure de la porte, étaient des coups de coups de hache.

Tradabordo a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui tenait [« brandissait » ?] un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde, se moquait quand je leur [supprimez] expliquais que ces toutes petites marques, [virgule nécessaire ?] sur la partie inférieure de la porte, [idem ?] étaient des coups de coups [relisez-vous] de hache.

Unknown a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui brandissait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde se moquait quand j’expliquais que ces toutes petites marques sur la partie inférieure de la porte étaient des coups de hache.

Tradabordo a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui brandissait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde se moquait quand j’expliquais que ces toutes [il faut trouver une solution pour régler le pb de « tout » + « toutes »] petites marques sur la partie inférieure de la porte étaient des coups de hache.

Unknown a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui brandissait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde se moquait quand j’expliquais que l’ensemble de ces petites marques sur la partie inférieure de la porte étaient des coups de hache.

Tradabordo a dit…

Mais un seul était réel : le sioux jaune moutarde, celui qui brandissait un tomahawk. Il a disparu une nuit d’été, profitant que la porte du jardin était restée entrebâillée. Dans ma famille, tout le monde se moquait quand j’expliquais que l’ensemble de ces petites marques sur la partie inférieure de la porte étaient des coups de hache.

OK.

Tradabordo a dit…

Relisez bien et envoyez-moi l'ensemble par mail.