vendredi 23 janvier 2015

Projet Émilie 7 – phrases 16-20

Me pareció que no tenía conciencia de lo que había hecho porque llamaba a Cipriano como un niño que despierta en la oscuridad, hasta que me tomó fuertemente de la mano y dijo, con la tensión cargada de su cuello, que él no lo había matado. Sus dedos largos hicieron presión sobre los míos, dijo que le dolía el pecho pero más la nuca, mientras insistía en que hiciera algo para que lo dejaran ir. Si digo que ese día pude entenderlo, miento. La inutilidad de la muerte de su padrino me superó. No era fácil para mí llevar adelante este caso, había pedido que lo llevaran al neuropsiquiátrico pero nadie me escuchó.

Traduction temporaire :
Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il réclamait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura, le cou tendu, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine, mais plus encore à la nuque. Par ailleurs, il s'entêtait à vouloir que je fasse quelque chose pour qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, je réussis à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il appelait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura, le cou chargé de tension, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine mais plus encore à la nuque, tandis qu’il insistait pour que je fasse quelque chose afin qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, j’ai réussi à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

Tradabordo a dit…

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il appelait [« réclamait » pour être plus claire ? J'hésite… mais c'est vrai que j'ai dû relire pour comprendre] Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura [« me déclara » ? Comme tu préfères…], le cou chargé de tension [« tendu » tout seul ?], qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine [virgule avant les « mais » dans les phrases…] mais plus encore à la nuque, tandis qu’il insistait [ou : « . Par ailleurs, il insistait » ? Vois ce qui est mieux] pour que je fasse quelque chose afin qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, j’ai réussi à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

Tradabordo a dit…

P. S. : à la fin, tu as un passé composé qui traîne… alors que, si je ne me trompe pas, tu étais au passé simple.

Emilie a dit…

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il réclamait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura [« déclara » déjà utilisé peu avant], le cou tendu, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine, mais plus encore à la nuque. Par ailleurs, il insistait pour que je fasse quelque chose afin qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, je réussis à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

Tradabordo a dit…

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il réclamait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura, le cou tendu, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine, mais plus encore à la nuque. Par ailleurs, il insistait pour [le « afin de » est un peu artificiel… « il s'entêtait à vouloir que je… » ?] que je fasse quelque chose afin qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, je réussis à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

Emilie a dit…

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il réclamait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura, le cou tendu, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine, mais plus encore à la nuque. Par ailleurs, il s'entêtait à vouloir que je fasse quelque chose afin qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, je réussis à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.

Tradabordo a dit…

Du coup, remplace ton « afin de » par « pour ».

Emilie a dit…

Ah oui !

Il me sembla qu’il n’avait pas conscience de ce qu’il avait fait, car il réclamait Cipriano comme un enfant qui se réveille dans l’obscurité. Jusqu’au moment où il me saisit fermement par la main et assura, le cou tendu, qu’il ne l’avait pas tué. Ses longs doigts exercèrent une pression sur les miens, il affirma qu’il avait mal à la poitrine, mais plus encore à la nuque. Par ailleurs, il s'entêtait à vouloir que je fasse quelque chose pour qu’on le laisse partir. Je mentirais si j’affirmais que ce jour-là, je réussis à le comprendre. L’inutilité de la mort de son parrain me dépassait. Il m’était difficile de m’occuper de cette affaire ; j’avais demandé à ce qu’on l’amène voir le neuropsychiatre, mais personne ne m’avait écouté.