lundi 26 janvier 2015

Projet Émilie 7 – phrases 21-23

Cuanto más intentaba penetrar en su misterio, ese misterio que lo impulsó a querer perpetuar la felicidad de un hombre matándolo, menos entendía la brutalidad que nos involucraba a todos. Pensé que podía hacer algo por él, sin embargo me equivoqué. Me pregunto todavía, ahora que reviso mis notas, si a Dionisio en su locura no se le mezclaba el resentimiento de haber sido abandonado, con el amor desmedido hacia el hombre que le salvó la vida, y el deseo por la mujer de ese hombre.

Traduction temporaire :
Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai. En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour l'homme qui lui avait sauvé la vie et au désir envers sa femme.

7 commentaires:

Emilie a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avons tous en commun. Je croyais pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompais.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour l’homme qui lui avait sauvé la vie et au désir envers la femme de cet homme.

Tradabordo a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avons [temps ?] tous en commun. Je croyais [temps ?] pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompais [temps ?].
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour l’homme qui lui avait sauvé la vie et au désir envers la femme de cet homme [pas facile, mais un moyen de ne pas répéter « homme » ? Sinon, tant pis…].

Emilie a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour celui qui lui avait sauvé la vie et au désir envers la femme de cet homme.

Tradabordo a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour celui qui lui avait sauvé la vie et au désir envers la [« sa » et rien après ? Clair, non ?] femme de cet homme.

Emilie a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour celui qui lui avait sauvé la vie et au désir envers sa femme.

Emilie a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour l'homme [comme on n'a + de répétition, on ne remettrait pas "l'homme" ?] qui lui avait sauvé la vie et au désir envers sa femme.

Tradabordo a dit…

Plus je tentais de percer son mystère, ce mystère qui l’avait poussé à vouloir perpétuer le bonheur d’un homme en le tuant, moins je comprenais la brutalité qui nous avions tous en commun. Je crus pouvoir faire quelque chose pour lui, mais je me trompai.
En relisant mes notes, je me demande encore si chez Dionisio, dans sa folie, le ressentiment d’avoir été abandonné ne se mêlait pas à l’amour sans bornes pour l'homme qui lui avait sauvé la vie et au désir envers sa femme.

OK.