jeudi 29 janvier 2015

Projet Émilie 7 – phrases 24-27

El tiempo que Dionisio había pasado entre barrotes no fue el mismo que nos aprisionó afuera a los que creímos haberlo asistido. No sé qué pudo haberle ocurrido para que queriendo como quería a su padrino no dudara en clavarle el cuchillo mientras dormía. Cuando hablaba de la mujer de Cipriano, su discurso se volvía frágil y apagado. Algo me llevó a pensar que Dionisio la deseaba. Dijo que aquella tarde después de votar, al volver del almacén de Liniers, la encontró revolcándose con un tal Irineo y furioso se fue a buscar a su padrino.

Traduction temporaire :
Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait. Il raconta que ce soir-là, en rentrant du magasin de Liniers, après avoir voté, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’hésitât pas à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours s’affaiblissait et perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, après avoir voté, en rentrant du magasin de Liniers, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Tradabordo a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’hésitât [« n'ai pas hésité » ?] pas à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours s’affaiblissait [est-ce la même chose qu'en V.O. ? J'hésite…] et perdait sa vigueur [c'est pas la voix, plutôt que le discours ? Ou le débit… ? Je te laisse réfléchir…]. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, après avoir voté, en rentrant du magasin de Liniers, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Emilie a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, après avoir voté, en rentrant du magasin de Liniers, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Tradabordo a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, après avoir voté, en rentrant du magasin de Liniers [ou placé avant ? Essaie et vois ce que ça donne], il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Emilie a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, en rentrant du magasin de Liniers après avoir voté, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Tradabordo a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, en rentrant du magasin de Liniers [virgule ?] après avoir voté, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Emilie a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, en rentrant du magasin de Liniers, après avoir voté, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

Tradabordo a dit…

Le temps que Dionisio avait passé derrière les barreaux fut bien différent de celui qui nous enferma dehors, nous qui pensions lui être venus en aide. J’ignore ce qui avait bien pu lui arriver pour qu’aimant son parrain autant qu’il l’aimait, il n’ait pas hésité à le poignarder dans son sommeil. Lorsqu’il parlait de la femme de Cipriano, son discours se fragilisait et sa voix perdait sa vigueur. Quelque chose me porta à croire que Dionisio la désirait.
Il raconta que ce soir-là, en rentrant du magasin de Liniers, après avoir voté, il l’avait trouvée en train de s’envoyer en l’air avec un certain Irineo. Furieux, il était allé chercher son parrain.

OK.