samedi 24 janvier 2015

Projet Florian – phrases 125-129

El gordo me sirve un whisky y comienza a explicarme las reglas del póker. Cuando empiezo a interesarme por el juego, una mujer menuda y pelirroja pasa a nuestro lado abrazada a un tipo en vaqueros y con pelo alborotado. Ríen y ríen y yo, aunque no sé quién es, no puedo dejar de mirarla. Me gusta tanto que me levanto. Aprietan el paso y se pierden en la bruma y yo, como imantado por ella, les sigo y les sigo entre la niebla.

Traduction temporaire :
Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, enlacée à un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, dans le brouillard.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive enfin à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, dans les bras d'un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux cesser de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Moi, comme aimantée par elle, je les suis toujours, sous la neige.

Tradabordo a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive enfin [ajout nécessaire ?] à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre [« mince » ? Vérifiez] passe à côté de nous, dans les bras [avec un adjectif, comme en V.O.] d'un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux cesser de [ou avec « s'empêcher de » ?] la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Moi, [nécessaire ?] comme aimantée par elle, je les suis toujours [moins clair qu'en V.O.], sous la neige.

Unknown a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre [j'ai vérifié dans l'une des premières phrases du texte qui employait ces deux mêmes adjectifs, et on avait traduit comme ça, j'ai donc gardé cette traduction ici aussi car je pensais que l'auteur faisais une référence à la phrase du début] passe à côté de nous, enlacée par un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, sous la neige.

Tradabordo a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, enlacée par [« à » ?] un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, sous la neige [FS].

Unknown a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, enlacée à un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, dans la neige.

Tradabordo a dit…

Merci de prendre en compte le FS de la fin.

Unknown a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, enlacée à un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, dans le brouillard.

Tradabordo a dit…

Le gros me sert un whisky et commence à m'expliquer les règles du poker. Quand j'arrive à m'intéresser au jeu, une femme rousse et maigre passe à côté de nous, enlacée à un type en jean, les cheveux ébouriffés. Ils rient, encore et encore. Moi, bien que je ne sache pas qui c'est, je ne peux m'empêcher de la regarder. Elle me plaît tellement que je me lève. Ils pressent le pas et se perdent dans la brume. Comme aimanté par elle, je les suis et les poursuis, dans le brouillard.

OK.

Maintenant, vous pouvez relire.
Attention, comme d'habitude, qu'il ne manque pas des phrases. Vous le savez, il arrive que l'enregistrement se fasse mal dans « Travaux en cours ».
Relisez largement, pas seulement pour les coquilles. Regardez que l'ensemble soit bien fluide + répétitions, etc. Le texte n'était pas facile et complexe pour le contenu. Il se peut donc qu'au début, nous ayons été un peu à côté, etc. Envoyez cela par mail quand c'est prêt.