vendredi 23 janvier 2015

Projet Hélène 4 – phrases titre + phrases 1-3

Enrique Bernales Albites
(Pérou)

La Sinfonía. Siete microrrelatos.

Leningrado 9 August 1942


Sabía que ella detestaba la luz, así que usó un plus de imaginación para no caerse, se aproximó al borde de la cama, la besó y volvió a acariciarla toda, los cabellos, los ojos, los pies, la mirada. Sabía que nunca la volvería a ver y eso le dolía, pero no era momento de pensar, sino de salir. Se dirigió al baño, arrojó los condones al basurero incluso los que no había usado.

Traduction temporaire :

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, caressa de nouveau tout son corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il était affligé de savoir qu’il ne la reverrait plus jamais, seulement ce n'était pas le moment de réfléchir, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs à la poubelle, y compris ceux qu’il n’avait pas utilisés.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)
La Symphonie. Sept micro-récits
Léningrad, 9 août 1942

Il savait qu’elle détestait la lumière. Avec un petit effort d’imagination, il prit donc garde de ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés, à la poubelle.

Tradabordo a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Il savait [vu qu'il y a un lien de cause à effet et que c'est une seule phrase en V.O. : « Sachant qu'elle…………… » ?] qu’elle détestait la lumière. Avec un petit effort d’imagination, il prit donc garde de ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés, à la poubelle.

Hélène a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, avec un petit effort d’imagination, il prit garde de ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés, à la poubelle.

Tradabordo a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, avec [« il fit un… » ; je pense que tu devrais quand même rester plus près de la V.O.] un petit effort d’imagination, il prit garde de ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés, à la poubelle.

Hélène a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés, à la poubelle.

Tradabordo a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau sur tout le corps [« caressa de nouveau tout son corps » // au fait, l'ajout de « corps » est-il nécessaire ?] : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il savait qu’il ne la reverrait plus jamais, ce qui [littéral ? Sinon, tu fais autrement : « il était affligé de savoir……… »] l’affligeait, mais l’heure n’était pas à la méditation [tu modifies un peu le sens… d'autant que là, il ne médite pas, il pense à l'amour ;-)], il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs, même ceux qu’il n’avait pas utilisés [à la fin ?], à la poubelle.

Hélène a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau partout [j'aime pas trop avec "partout", je crois que préférais avec "corps". Ton avis ?]: ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il était affligé de savoir qu’il ne la reverrait plus jamais, seulement ce n'était pas le moment de penser, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs à la poubelle, y compris ceux qu’il n’avait pas utilisés.

Tradabordo a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, la caressa de nouveau partout [j'aime pas trop avec "partout", je crois que préférais avec "corps". Ton avis ? // Franchement : comme tu veux…]: ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il était affligé de savoir qu’il ne la reverrait plus jamais, seulement ce n'était pas le moment de penser [ou « réfléchir » ? Comme tu veux…], il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs à la poubelle, y compris ceux qu’il n’avait pas utilisés.

Hélène a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, caressa de nouveau tout son corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il était affligé de savoir qu’il ne la reverrait plus jamais, seulement ce n'était pas le moment de réfléchir, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs à la poubelle, y compris ceux qu’il n’avait pas utilisés.

Tradabordo a dit…

Enrique Bernales Albites (Pérou)

La Symphonie. Sept micro-récits

Léningrad, 9 août 1942

Sachant qu’elle détestait la lumière, il fit un petit effort d’imagination pour ne pas tomber ; il s’approcha du bord du lit, l’embrassa, caressa de nouveau tout son corps : ses cheveux, ses yeux, ses pieds, son regard. Il était affligé de savoir qu’il ne la reverrait plus jamais, seulement ce n'était pas le moment de réfléchir, il fallait sortir. Il se dirigea vers la salle de bain, où il jeta les préservatifs à la poubelle, y compris ceux qu’il n’avait pas utilisés.

OK.