lundi 26 janvier 2015

Projet Hélène / Chloé – phrases 78-87


Cuando él abre nuevamente los ojos, ya apenas es una mitad. Pura mitad. No quiere decir nada, esquiva la mirada de su hija. Permanecen en silencio. Cómo decir algo sin que suene a lástima, a pena. Llegan los médicos y dicen que la operación fue exitosa. Él los mira y por fin abre la boca. ¡Era la única opción que tenían! ¡Animales!, les grita. Aprieta la sábana con los puños, cargado de rabia, una vena le salta cruzando la sien derecha y otra crece a un lado de la garganta.

Traduction temporaire :
Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, furieux ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

14 commentaires:

Mme B. a dit…

Lorsqu'il ouvre les yeux à nouveau, à peine en reste-t-il une moitié. Juste une moitié. Il ne veut rien dire, il esquive le regard de sa fille. Ils restent en silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la plainte, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération est un succès. Ils les regardent y ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative que vous aviez! Espèces de brutes! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein de rage; une veine surgit et court le long de sa tempe droite et une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Hélène a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il [je pense que le sujet de "es" n'est pas impersonnel] n'est alors plus ["ya" + "apenas"] qu'une moitié. Juste une moitié. Il ne veut rien dire, il esquive ["et esquive"]le regard de sa fille. Ils restent en silence. Comment dire quelque chose ["s'exprimer" pour éviter "dire quelque chose"?] sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative que vous aviez [espace]! Espèces de brutes [idem]! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein de rage [idem] ; une veine surgit ["ressort"?] et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Je reprends en me servant de la proposition de Chloé comme base.

Tradabordo a dit…

Chloé, du coup, refais une autre propo, avec les remarques d'Hélène – que tu les estimes valables ou non.

Mme B. a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'est alors plus qu'une moitié [ok, effectivement l’ambiguïté du sujet est peut être volontaire; mais peut être peut-on trouver une formule plus élégante?]. Juste une moitié. Il ne veut rien dire, et esquive le regard de sa fille. Ils restent en silence. Comment dire quelque chose [ici par contre je conserverais] sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein de rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Tradabordo a dit…

Les filles, mettez-vous d'accord sur une version à me proposer ;-)

Hélène a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, son corps [J'hésite, on change trop ?] n'est alors plus qu'une moitié. Juste une moitié. Il ne veut rien dire, et esquive le regard de sa fille. Ils restent en silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein de rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Mme B. a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, ils l'ont réduit à une moitié [J'hésite aussi, d'autant que je me demande si c'est français ?]. Juste une moitié. Il ne veut rien dire, et esquive le regard de sa fille. Ils restent en silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein de rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, son corps [J'hésite, on change trop ?] n'est alors plus qu'une moitié [« il n'a plus qu'une moitié de corps » ?]. Juste une [pas plus tragique en passant par « rien que » ? Comme vous voulez] moitié. Il ne veut rien dire, et [sans le « et » ou sans la virgule, mais pas les deux] esquive le regard de sa fille. Ils restent en silence [mal dit]. Comment dire [un moyen de ne pas répéter ?] quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule alternative [non, car alternative = deux solutions… Or là, il n'y en avait qu'une, justement] que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, plein [mal dit] de rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Hélène a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une [pas plus tragique en passant par « rien que » ? Comme vous voulez // OK. Par contre, il faut modifier la suite, où on a déjà "rien" ] moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, chargé de rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, chargé de [mal dit] rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Hélène a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, pénétré de [?? Je fais un essai. Dîtes-moi...] rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, pénétré de [?? Je fais un essai. Dîtes-moi... // FURIEUX] rage ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

Hélène a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, furieux ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.

OK.

Mme B. a dit…

Lorsqu'à nouveau il ouvre les yeux, il n'a plus qu'une moitié de corps. Rien qu'une moitié. Il ne veut pas prononcer un mot et esquive le regard de sa fille. Ils gardent le silence. Comment dire quelque chose sans que cela ressemble à de la pitié, de la peine. Les médecins arrivent et annoncent que l'opération a été un succès. Il les regarde et ouvre enfin la bouche : c'était la seule solution que vous aviez ! Espèces de brutes ! leur crie-t-il. Il empoigne les draps, furieux ; une veine ressort et court le long de sa tempe droite, une autre grossit sur un côté de sa gorge.